Suisse : une souveraineté à rude épreuve

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Face à un système politique qui est en pleine fuite en avant, nous lançons trois batailles décisives en cette rentrée. La création d’un dossier sur l’héritage noir de Robert Badinter, le lancement de notre IA identitaire et l’organisation du XIᵉ Forum de la Dissidence contre le catastrophisme climatique. Pour financer ces combats, nous devons réunir 20 000 €. Aidez-nous à défendre nos idées : faites un don.
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Longtemps, la Suisse a incarné l’idéal de la neutralité : un État indépendant, prospère, capable de demeurer à l’écart des blocs. Sa neutralité même lui conférait une force et une crédibilité singulières dans le concert des nations, qu’il s’agisse d’accueillir des conférences de paix, d’abriter des organisations internationales ou de servir de médiateur discret entre puissances rivales.

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Fonds souverain suisse : notre arme économique de dissuasion massive

Imaginez une Suisse qui ne se contente pas de réagir aux coups portés par Washington ou Bruxelles, mais qui anticipe, riposte et protège ses citoyens grâce à un trésor de guerre intouchable. Ce n’est pas une utopie : c’est ce que font déjà la Norvège, Singapour ou les Émirats arabes unis. Et c’est ce que la Suisse doit faire maintenant.

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Piotr Tolstoy : « La Russie se contrefiche des ultimatums de Trump. »

Non, il n’a pas de cornes ni de queue fourchue, ni même de couteau entre les dents. Il ne mange pas non plus d’enfants ukrainiens au petit-déjeuner. Piotr Tolstoy semble être un homme normal. Quoique. A la réflexion, l’arrière-arrière-petit-fils de l’écrivain Léon Tolstoï possède un sens de l’ironie et un franc-parler nettement au-dessus de la moyenne des gens ordinaires.

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Référendum : Les Suisses disent non à une réforme écologique radicale !

Le peuple suisse a largement refusé, ce dimanche 9 février, une initiative visant à inscrire dans la Constitution le respect des « limites naturelles de la planète ». Près de 70 % des votants ont rejeté cette proposition, jugée trop contraignante pour l’économie du pays. Avec une participation de 38 %, l’initiative a été balayée dans l’ensemble des 26 cantons.

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La Suisse exclue par les Etats-Unis des pays alliés pour l’accès illimité aux puces nécessaires à l’IA

Washington a récemment modifié les règles d’exportation des produits liés à l’intelligence artificielle. Désormais, seuls les pays considérés comme alliés pourront accéder à ces puces informatiques, et la Confédération n’est pas incluse dans cette liste.

Les Etats-Unis considèrent 18 pays comme leurs alliés de confiance, incluant la France, l’Allemagne et le Japon. Selon Washington, ces nations sont dignes de recevoir un accès illimité à ces puces informatiques très puissantes, produites uniquement par des entreprises américaines.

Il est important de noter que ces règles n’entreront en vigueur que dans quatre mois.

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Le sabordage de la neutralité sape la Genève internationale. Mais Genève se tait

En décidant de s’aligner sur les sanctions unilatérales américano-européennes contre la Russie en février 2022, alors qu’il avait toujours prétendu ne vouloir appliquer que des sanctions entérinées par les Nations Unies et ancrées dans le droit international, le Conseil fédéral a porté un rude coup à la neutralité et à la Genève internationale. Mais à Genève, personne n’a bronché. Voici pourquoi.

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La mascarade du « sommet » pour la paix en Ukraine : un nouveau fiasco de Zelensky

Le « sommet pour la paix en Ukraine » qui s’est tenu, les 15 et 16 juin 2024, à Bürgenstock, en Suisse est terminé. Malgré les espoirs investis par Kiev dans l’événement, seul un écho déformé et inaudible des idées initialement formulées en dix points par le président ukrainien Volodimir Zelensky, il y a des mois, a vu le jour.

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Le Bürgenstock peut réussir… Mais sans Zelenski (ni Cassis)

l’Occident est aujourd’hui dans une impasse. Il n’a toujours pas de stratégie de sortie de crise en Ukraine et n’a rien à proposer en dehors d’un soutien aveugle et inconditionnel au régime de Zelenski. Il ne sait pas quoi, comment ni avec qui négocier puisqu’il boycotte Poutine. Il se contente donc de suivre les élites les plus bellicistes d’Europe de l’Est, des pays baltes, de Pologne et de Washington, tout en n’étant pas d’accord sur ce que la paix devrait et pourrait être. Il n’y a pratiquement aucune chance pour que cela change avant les élections de novembre aux Etats-Unis

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