Expertise et Analyses géostratégiques
Le sénateur Rand Paul prendra la présidence du Comité de la sécurité intérieure de la chambre haute à partir de janvier, après deux ans en tant que principal républicain du panel – et il a déclaré au Post qu’il voulait découvrir la vérité sur la pandémie de COVID-19 .
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Un brouhaha énorme entoure les choix rapides de Trump pour les postes clés du cabinet au cours des derniers jours. Une grande division s’en est suivie, entre les deux camps opposés, l’un criant « trahison !» devant les choix d’une flopée de sionistes néoconservateurs de l’establishment, tandis que l’autre exulte en triomphant devant les choix inattendus et audacieux.
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Les annonces de programme faites par Donald Trump et les premières nominations qu’il envisage publiquement obligent à reconsidérer la stratégie russe, qui se focalisait sur la défense des valeurs traditionnelles et pour attirer vers elle à l’international, et dans son combat contre la globalisation. Que ces annonces soient ou non pleinement réalisées, cette stratégie doit être reconsidérée, dans le cadre d’une concurrence désormais renforcée dans ce domaine.
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Source : unz.com – November 13, 2024 – Mike Whitney https://www.unz.com/mwhitney/trumps-picks-are-all-neocon-warhawks-ferociously-devoted-to-israel/ Trump’s hawkish lineup is starting to look like a
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Cela dit, dans un monde qui avance à « grands pas “vers le dépassement de l’ordre mondial libéral et la construction d’un ordre plus conservateur “ et ” protectionniste », l’élection de Trump (soutenu par un personnage comme Elon Musk, qui est, à mon avis, très louche) ne peut signifier qu’une chose: à savoir que les USA veulent mener ce processus et y mettre leur chapeau pour construire une sorte de multipolarisme hégémonique (dans lequel Washington continue d’exercer un rôle prédominant). En d’autres termes, il s’agit d’une réinterprétation « conservatrice » du multilatéralisme proposé par le duo Obama-Clinton.
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L’élection a eu lieu ; Trump prendra ses fonctions en janvier ; de nombreux membres de la Nomenklatura du parti seront remplacés ; des politiques différentes seront annoncées – mais il sera plus complexe de prendre réellement le pouvoir (plutôt que de s’asseoir simplement à la Maison-Blanche). Les États-Unis se sont transformés en de nombreux fiefs disparates – presque des principautés – de la CIA au ministère de la Justice. Des «agences» de régulation ont également été créées pour préserver l’emprise de la Nomenklatura sur les forces vives du système.
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C’est étrange, non ? Trump remporte les élections et tout est calme sur le front occidental. Pas de voyous d’Antifa ou de BLM qui saccagent les grandes villes ; pas d’activité suspecte dans les bureaux de vote ni de cas significatifs de fraude électorale ; pas d’avertissements médiatiques hystériques sur la « montée du fascisme » imminente. Rien ! C’est presque comme si Trump était le candidat de l’État profond depuis le début, ce que je soutiens depuis le 7 octobre 2023.
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Deux jours après sa victoire en « reconquérant » la présidence des États-Unis, Donald Trump a procédé aujourd’hui à sa première nomination pour cette nouvelle administration, en annonçant que la coprésidente de sa campagne, Susie Wiles, deviendrait sa cheffe de cabinet.
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L’aveuglement jusqu’à la fin ! Les médias américains et européens se seront obstinés jusqu’au bout dans leur déni du peuple, leur incapacité à percevoir et à rapporter les attentes des classes populaires, et donc leur parti pris éhonté en faveur de Kamala Harris. Et une fois de plus, comme en 2016, ils se sont honteusement trompés. Gageons qu’ils ne tireront aucune leçon de cette cuisante défaite et que, comme à leur habitude, ils continueront de gloser sur le « fascisme » des Trump, Orban, Fico, Poutine tout en encensant les soi-disant défenseurs de la démocratie à la von der Leyen, Macron ou Scholz, qui sont pourtant arrivés au pouvoir par cooptation (von der Leyen) ou s’y maintiennent contre l’opinion de 85% de leurs concitoyens à en juger par leur cote d’amour dans les sondages (Macron, Scholz).
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Alexander Dugin reveals the deep state as a corrupt Western cabal, infiltrating the U.S. and Europe to manipulate elections, crush populist leaders like Donald Trump, and impose its liberal-globalist agenda by deceitfully posing as a protector of democracy while ruthlessly subverting the will of the people.
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