Guerre hybride, propagande et art opératif russe

De plus en plus de voix raisonnables, de personnalités unanimement connues et largement reconnues, tant au plan national qu’international, se font aujourd’hui entendre tant sur le conflit israélo-palestinien que sur le conflit ukrainien, voire sur la crise Covid, en prenant parfois le risque de subir les foudres de l’oligarchie financière mondiale, largement sionisée, et des autorités gouvernementales et médias qu’elle contrôle, quasiment tous sous influence des lobbies pro-Israël.

Ces voix de plus en plus nombreuses et de plus en plus puissantes viennent de tous les pays et de toutes les communautés, juive comprise.

Lire la suite

A Davos, l’OMS annonce une prochaine pandémie

Le Forum économique mondial de Davos a organisé une table ronde intitulée « Se préparer à la maladie X », avec pour intervenant majeur le directeur de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, qui a déclaré que  « la question est de savoir quand, et non si » une nouvelle maladie inconnue va bientôt apparaître.

Lire la suite

États-Unis, l’allié fatal

Xavier Moreau et son invité Nikola Mirkovic, analyste politique et auteur de l’«Amérique empire» et du «Chaos ukrainien», analysent les relations entre les États-Unis et les autres pays à travers le prisme de la citation du diplomate américain Henry Kissinger selon laquelle «être ennemi de l’Amérique peut être dangereux, mais être son ami est fatal».

Lire la suite

Patrick Buisson : C’est un suicide démocratique auquel nous assistons : avortement, mariage homosexuel et demain, bien sûr, euthanasie

Il y a un moment où, quoiqu’il nous en coûte, il faut savoir s’incliner devant les miracles du progrès. Deux siècles d’émancipation, deux siècles pendant lesquels on aura appris à l’homme à ne plus disposer de lui-même pour autre chose que lui-même. Deux siècles de Lumières ont débouché sur cette bonne nouvelle : l’humanité a enfin acquis les moyens techniques d’un suicide collectif. Je sais bien qu’il est de bon ton dans certains milieux – les nôtres par exemple – d’opposer une élite corrompue et pervertie à un peuple opprimé et innocent, à un peuple exonéré de toute responsabilité dans ce qui lui arrive. C’est ce que j’appellerai l’un de ces produits manufacturés de la non pensée populiste. Comme si les peuples n’avaient pas les élites qu’ils méritent !

Lire la suite

Quand Dostoïevski dénonce la Babylone mondialiste et l’homoncule occidental… – Nicolas Bonnal

Ce voyage connu et oublié est essentiel pour compléter mon livre et mes réflexions sur Dostoïevski et la modernité occidentale (je vais rajouter ce texte à mon recueil traduit en roumain du reste). Ici il ne s’agit pas comme dans Crocodile d’un conte fantastique et comique, mais d’un ensemble de réflexions échevelées et épouvantées face à la grande modernité infernale occidentale et son troupeau bourgeois et consommant. Les cibles de ce voyage pas comme les autres sont surtout Londres et Paris, les deux capitales les plus folles alors de cet occident qui fonctionne en mode turbo maintenant, contre le monde (toujours…) et contre sa population toujours plus hébétée et « hallucinée » (Guénon).

Lire la suite

Sergueï Karaganov : Attendez-vous au divorce de la Russie et de l’Occident

Je pense qu’aujourd’hui en Occident nous avons affaire à deux générations d’élites déjà assez dégradées. Malheureusement, il est peu probable que nous parvenions à un accord avec eux. Cependant, je continue de croire que les sociétés et les peuples, y compris ceux d’Europe occidentale, reviendront à des valeurs normales. Bien entendu, cela nécessitera un changement de génération d’élites. Je suis d’accord avec Sergueï Ryabkov sur le fait que cela prendra du temps, mais j’espère que les pays d’Europe occidentale, et peut-être aussi les États-Unis, ne tomberont pas dans une situation désespérée et que des forces nationales saines reviendront au pouvoir dans toute l’Europe.

Lire la suite

Du Charybde ukrainien au Scylla moyen-oriental ou l’absurdité des guerres Anglo-Saxonnes

Un Occident cupide qui n’apprend pas les leçons de l’Histoire, guidé par une entité dite « Anglo-Saxonne » que dirigent les Américains. Ils décident des guerres, souvent par proxy, des « regime change » par des « révolutions », des « coups d’État » ou des guerres civiles, même si elles conduisent à des situations absurdes où ils tentent d’échapper à un péril, comme en Ukraine, pour se retrouver face à un autre sûrement plus difficile, comme au Moyen-Orient.

Lire la suite

Le Maïdan raté en Serbie : la Serbie reste serbe

Belgrade dispose d’informations, selon lesquelles les manifestations sont soutenues par l’Occident, et elles sont irréfutables. La tentative de bouleverser le pouvoir sur la base des révolutions de Maïdan est liée à la position du président sur la non-adhésion aux sanctions anti-russes.

Lire la suite