Le suicide par écologisme

Il faut que les choses soient claires : l’empreinte carbone qu’il s’agit de réduire, c’est vous ! Et c’est tellement vrai, tellement évident qu’une récente tribune du Monde revient sur ce qui est maintenant un but affiché de l’écologie de combat, à savoir la réduction active de l’Humanité. Peu importe que les dernières projections raisonnables montrent une réduction naturelle drastique (plus de 50%) de la population d’ici 2100 ; pour les activistes malthusiens du climat, pas de doute : éliminer rapidement une partie de la population constituerait une vraie solution pour lutter contre un réchauffement climatique qu’ils continuent de voir dans des phénomènes disparates et à l’aune de prophéties plus ou moins catastrophistes pourtant régulièrement repoussées

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Le président de Climate Intelligence (CLINTEL) déclare qu’il n’y a pas d’urgence climatique

Ppourquoi y a-t-il une si grande différence entre le récit effrayant des activistes climatiques et le message optimiste des climatologues, qui estiment qu’il n’y a pas d’urgence climatique ?
Peu de citoyens savent que toutes les prédictions climatiques effrayantes ont été générées par des modèles informatiques. Et nous savons par expérience, dans de nombreux autres domaines complexes, à quel point les modèles informatiques peuvent être trompeurs.

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Le « succès éclatant » de la révolution verte est encore un autre mythe progressiste

En somme, comme on doit s’y attendre lorsqu’on a affaire à des technocrates poussés par l’orgueil progressiste à intervenir dans le développement naturel de l’économie, la révolution verte n’a pas été une bénédiction, la victoire de sages scientifiques sur la propension de paysans stupides à se reproduire de manière incontrôlée. Au contraire, elle a été un désastre écologique, nutritionnel et social.

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La COP26 et l’écologisation du christianisme par le pape François

quelle sorte de « conversion » le pape François veut-il que le monde chrétien entreprenne en soutenant à la fois les Accords de Paris de 2015 et les objectifs de la COP26 aujourd’hui ? Le secrétaire du Conseil de sécurité russe Nicolai Patrushev a récemment dénoncé l’absurdité des réseaux d’énergie verte en déclarant : « La crise énergétique de l’Europe a montré que les technologies existantes ne permettent pas de répondre aux demandes économiques uniquement grâce aux sources d’énergie renouvelables. L’Europe, région industrialisée, s’est révélée incapable de remplacer le charbon, le pétrole et le gaz par des centrales éoliennes, solaires et marémotrices. » L’effet global de cette politique anti-scientifique est une vaste réduction des moyens dont dispose l’humanité pour subvenir aux besoins de ses huit milliards d’âmes. C’est l’abolition de la souveraineté des nations et l’abolition des moyens de mener à bien le mandat de sortir l’humanité de la misère, de la pauvreté et du désespoir… tout cela sous le couvert vertueux de la protection de l’environnement.

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