La Suisse a offert à Klaus Schwab le statut d’Organisation internationale. Une révolution antidémocratique.

Nous sommes donc à la croisée des chemins. Les modèles monétaires, financiers, économiques, fonciers, éducatifs, ou culturels de l’ancien monde sont en voie de liquidation. Les richesses associées ont néanmoins été captées par une oligarchie privée et corporatisée, qui se rend maîtresse de tous les leviers. Pour atteindre le nouveau paradigme, les seigneurs mettent en place une révolution sociétale dans laquelle l’humanité risque de perdre ses dernières libertés et ses droits, avec en particulier le droit à la propriété privée. Ce faisant, elle dépendra du système omniprésent pour assurer sa subsistance. Un revenu universel et une économie de partage seront mis à disposition du terrien contre services rendus à la communauté.

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Choc des civilisations : le nouvel adjoint au ministère de l’Énergie de Biden est un activiste queer “maître-chien” fétichiste

Sam Brinton est un diplômé du MIT qui est à la fois un activiste queer et un spécialiste du traitement des déchets nucléaires. Il est la dernière recrue de l’administration Biden au ministère de l’Énergie en tant qu’adjoint chargé de l’élimination du combustible usé et des déchets.

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La Russie face au « Great Reset »

Dans ce contexte délétère, il n’est pas surprenant que les élites russes globalistes n’aient pas réussi à faire oublier l’Union soviétique, ayant instauré un libéralisme sauvage, compensé depuis quelques années par une aide sociale d’urgence, qui n’est pas une politique sociale. La nostalgie pour l’URSS, qui ne s’est jamais éteinte dans le cœur de la population russe malgré la propagande antisoviétique grandissante et intrusive, n’est pas surprenante. De manière très stable, environ 67% des Russes regrettent la chute de l’URSS depuis 2005. Si un référendum devait être organisé aujourd’hui quant à la conservation de l’Union soviétique, 73% voterait pour sa préservation. Le libéralisme arrive à son paroxysme avec le Covid et la globalisation forcée qu’il porte, il s’y suicide, faute d’avoir une autre idéologie l’obligeant à ne pas tomber dans les excès, que l’on observe aujourd’hui. Il est temps d’en tirer les conclusions et de reprendre le cours national, qui est la seule voie permettant le développement des hommes et des sociétés. Il faut renationaliser les élites …

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