La pleurnicherie humanitaire c’est aussi l’arme pour repeupler l’Europe ou ce qu’il en reste (ce n’est pas que les vieux machins imbibés de télé que nous sommes devenus m’inspirent de la pitié, mais…). Merkel a commencé par pleurnicher avant de faire rentrer deux millions de migrants dont 12% ont obtenu un travail. On ne parlera pas du reste. Il faut trouver un bon sujet de pleuraison, si j’ose dire, mot qui remplace la raison : tout sera bon pour incriminer le petit homme blanc (le juif du vingt-et-unième siècle, dit justement Jonah Goldberg dans son étude magistrale sur le fascisme libéral) qui est de trop sur cette terre et lui reprocher sa simple existence. Les gouvernements européens, tous de centre-gauche au service des oligarques américains, se doivent donc de réduire leur stock de populations à seule fin (faim) de satisfaire les agents malthusiens de nos élites enturbannées.
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