Plus de la moitié des pays du monde ont aujourd’hui un taux de fécondité inférieur au seuil de remplacement

Plus de la moitié des pays du monde ont aujourd’hui un taux de fécondité inférieur au seuil de remplacement, notamment les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Australie, et « près d’un cinquième » des pays ont un taux de fécondité « ultra-faible », inférieur à 1,4 naissance par femme, selon les Nations unies.

Lire la suite

Les Jeux Olympiques de Paris : le championnat de la russophobie

Les Jeux Olympique que nous vivons aujourd’hui ne sont qu’une scène de plus, parmi tant d’autres qui ont eu lieu ces dernières années, sur laquelle la classe politique actuellement au pouvoir en France, étant tout à fait représentative de l’ensemble de la classe politique du monde Occidental, commet une erreur fatale vis-à-vis de la volonté de la perduration de l’hégémonie mondiale du camp qu’il représente, en exposant d’une manière ouverte et assumée leur modus operandi qui consiste à l’application des doubles standards, de la politique « deux poids, deux mesures ».

Lire la suite

Les Jeux olympiques sataniques – Alexandre Douguine

L’ouverture des Jeux olympiques de 2024 à Paris est le jugement final qui sanctionne la fin de la civilisation occidentale moderne. L’Occident est maudit, c’est une évidence. Quiconque ne prend pas immédiatement les armes pour détruire cette civilisation satanique, sans précédent dans son effronterie, en est complice.

Lire la suite

Le sabordage de la neutralité sape la Genève internationale. Mais Genève se tait

En décidant de s’aligner sur les sanctions unilatérales américano-européennes contre la Russie en février 2022, alors qu’il avait toujours prétendu ne vouloir appliquer que des sanctions entérinées par les Nations Unies et ancrées dans le droit international, le Conseil fédéral a porté un rude coup à la neutralité et à la Genève internationale. Mais à Genève, personne n’a bronché. Voici pourquoi.

Lire la suite

Bernanos et la « masse disponible » des temps totalitaires – Nicolas Bonnal

Le problème, le vrai problème c’est la dévaluation du matériel humain ; et là Bernanos surprend avec des arguments… en or massif (Zweig en parle aussi au début de ses mémoires) :
« Les événements n’ont pas plus de volume qu’avant, ce sont les hommes qui sont dévalués. La dévaluation de l’homme est un phénomène comparable à celui de la monnaie. N’attendez pourtant pas que les dévalués conviennent de leur dévaluation! Si le billet de mille francs pouvait parler, il dirait que le bifteck est devenu aussi précieux que l’or, il n’oserait jamais avouer que C’est lui qui ne vaut plus que cent sous. Ainsi les hommes dévalués préfèrent se venger sur l’histoire de leur dévaluation. Ils sont de plus en plus enclins à nier l’histoire, à ne voir en elle que l’ensemble des fatalités historiques… »

Lire la suite