Jean-Marie Le Pen et la décadence de la France sous De Gaulle – Nicolas Bonnal

Ainsi a procédé la révolution de Mai 68. Avec son
slogan directeur, il est interdit d’interdire, elle a plongé la civilisation européenne dans un bain
d’acide où nous sommes restés durant toutes les années soixante-dix, puis, au fil des années quatre-
vingt, on a sorti la plaque, on l’a essuyée, et la gravure à l’eau-forte est apparue, image de la nouvelle
civilisation, avec sa nouvelle morale, sa nouvelle esthétique, ses nouveaux fondements politiques,
dans laquelle nous vivons. Le monde ancien, homme ancien, ont été dissous, et se dessinent
maintenant l’homme nouveau et ses valeurs nouvelles. 

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Louis-Ferdinand Céline et la robotisation du monde et des gens – Nicolas Bonnal

Comme Bernanos combat les robots. Le mot « robot » revient trente-sept fois dans
Bagatelles pour un massacre, ce qui est énorme. Car comme je l’ai montré ce que combat Céline… Les robots ne se révoltent pas. Asimov avait raison : donc on a transformé les gens en robots, ce qui
était facile, reconnaissons-le.
dans les Pamphlets c’est le monde moderne

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Kubrick et la question russe – Nicolas Bonnal

Entre Spartacus, héros communiste (et excellent ballet), 2001 et les cosmonautes russes (dirigés par
des femmes) et l’argot russe des voyous d’orange mécanique – sans oublier bien sûr la Lolita de
Nabokov ou Dr Folamour – Kubrick semble obsédé par les russes – et pas négativement. En musique
aussi : pensons à Chostakovitch (EWS), à Khatchaturian (2001)…
Citons notre livre sur Kubrick alors pour balayer le problème et offrir quelques pistes de réflexion.

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« Pour être tué, il faut vivre » (Jules Michelet) : comment le vieil occident zombie survit à sa mort – Nicolas Bonnal

Vladimir Poutine et la Russie dominent, mais l’occident se maintient avec sa dette, son hypocrisie,
ses casseroles coloniales. Dix techno-lords US sont plus riches que tous les africains. Bruxelles
agonise en nous volant argent et liberté.
Jean Baudrillard parla d’hystérésis (1) pour décrire ce monde. Il évoquait même je crois cette barbe
qui continue de pousser au poil de menton du cadavre.
Qu’est-ce qui n’est pas mort en Occident ?  Qu’est-ce qui ne relève pas encore du phénomène
zombi ?

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La solution c’est le problème : retour sur Paul Watzlawick et les impasses occidentales – Nicolas Bonnal

La guerre contre la Russie devait être la solution : elle est devenue le problème. L’Europe technocratique supranationale devait être la solution : elle est le problème. Le vaccin devait être la solution : il est devenu le problème. On continue ?

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Chrétien de Troyes et les grands mystères de la canicule – Nicolas Bonnal

Les clergés païens de jadis savaient mieux que Bergoglio comment l’encadrer, nos écrivains
aussi puisque le plus grand d’entre eux, Chrétien de Troyes consacra son meilleur roman à cette
canicule, et au chevalier au lion (ou au chien) qui l’accompagne.

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Les mystères de notre soumission au parti démocrate américain – Nicolas Bonnal

Ce parti démocrate mène le monde à sa perdition avec sa troisième guerre mondiale contre la Chine
et la Russie ; il mène l’Europe à sa ruine totale et il livre l’Amérique aux hordes ethniques comme on
dit, au lobby LGBTQ et à la faillite financière via la dette – le tout sur fond de hausse infinie et
arrogante de la bourse. La social-démocratie est chargée de préparer cette nouvelle situation, c’est-à-dire d’aider
politiquement le capital américain à rationner l’Europe. Que fait en ce moment la social-démocratie
allemande et française, que font les socialistes de toute l’Eu

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De Gambetta à Zelenski : une leçon d’histoire par Drumont – Nicolas Bonnal

Zelenski fait liquider les ukrainiens pour les raisons que l’on connaît et que je ne vais pas discuter ici – on ne les connaît tous que trop ; mais il me semble opportun de rappeler que nous avons eu un héros national qui fit la même chose, qui n’était pas français et qui a envoyé les Français se faire liquider pour rien par les prussiens mieux préparés et armés après une défaite impériale bien méritée : il s’agit de Gambetta.

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« La France et le monde sont dans une situation où il n’y a plus rien à faire ; je ne souhaite pas que leréférendum réussisse » : le Général de Gaulle face au Kali-Yuga français – Nicolas Bonnal

Debré et de Gaulle sont conscients de tout. L’Histoire de France est terminée et cela va se sentir. Debré écrit donc :
« J’évoque ces forces violentes qui désirent tant l’intégration de la France dans l’Europe, c’est-à-dire en
fin de compte la fin de la France, et je crains aussi que les divisions de l’Occident et l’incapacité
américaine ne conduisent notre civilisation au déclin décisif. Je parle d’abord des forces qui poussent à
l’intégration européenne: tous ceux qui Sont hostiles à l’Etat, tous ceux qui ne comprennent pas la
nécessité d’une pensée et d’une action indépendantes, se précipitent vers la supranationalité. Subsiste uniquement le monde des affaires, dans la mesure où le monde des affaires permet gagner de
l’argent et d’avoir des revenus. Mais sinon il n’y a plus rien

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Young Leaders et politiciens-robots : quand Boris Vian expliquait le futur – Nicolas Bonnal

Vian traducteur de Marlowe écrit après la guerre quatre parodies de romans noir : le plus connu est
le plus mauvais, j’irai cracher sur vos tombes. Le meilleur est Et on tuera tous les affreux, ouvrage
méconnu qui pastiche plusieurs genres : le film d’aventures dans les îles ; le porno (eh oui) ; le roman
noir et la SF.

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