Kubrick et la question russe – Nicolas Bonnal
Entre Spartacus, héros communiste (et excellent ballet), 2001 et les cosmonautes russes (dirigés par
des femmes) et l’argot russe des voyous d’orange mécanique – sans oublier bien sûr la Lolita de
Nabokov ou Dr Folamour – Kubrick semble obsédé par les russes – et pas négativement. En musique
aussi : pensons à Chostakovitch (EWS), à Khatchaturian (2001)…
Citons notre livre sur Kubrick alors pour balayer le problème et offrir quelques pistes de réflexion.










