Dossier : Aux sources du séparatisme Ouïghours au Xinjiang
De la République de Chine à Tian’anmen (1911-1989) Partie 1/4 (14 pages) Par Wilson MARTINS–PINTO Depuis le début du 20èeme
Lire la suiteDe la République de Chine à Tian’anmen (1911-1989) Partie 1/4 (14 pages) Par Wilson MARTINS–PINTO Depuis le début du 20èeme
Lire la suiteNous devrions plutôt parler ici d’une expansion globale de la présence militaire américaine, en tenant compte des intérêts croissants de la lutte contre la Chine et son projet « Belt and Road » dans la région. Ajoutons à cela le rôle du Nicaragua et du Venezuela dans l’opposition aux États-Unis et la mise en œuvre de la politique du socialisme bolivarien, qui irrite Washington et ses clients locaux. La nouvelle base américaine servira évidemment de moyen de dissuasion pour faire pression sur les États récalcitrants.
Lire la suitedée d’un grand réseau électrique panasiatique a germé en 2011, dans le contexte du tsunami qui a frappé l’Asie cette année-là.
Lire la suiteMais c’est là que réside toute la beauté de l’initiative Belt & Road. Sur les 193 pays du monde, 152 font partie de la BRI. Et une caractéristique très commune à beaucoup de ces pays est qu’ils ont des dettes en dollars américains, envers le gouvernement américain ou d’autres créanciers occidentaux. C’est là que la stratégie chinoise pourrait devenir vraiment astucieuse. La Chine pourrait utiliser ses dollars américains pour aider les pays de la Ceinture et de la Route à rembourser leurs dettes en dollars auprès des créanciers occidentaux. Mais voici la clé : en échange de l’aide apportée à ces pays pour régler leurs dettes en dollars, la Chine pourrait s’arranger pour être remboursée en yuans, en ressources stratégiques ou par le biais d’autres accords bilatéraux. Cela créerait un triple avantage pour la Chine : elle se débarrasserait de son excès de dollars, elle aiderait ses pays partenaires à échapper à la dépendance au dollar et elle approfondirait l’intégration économique de ces pays avec la Chine plutôt qu’avec les États-Unis.
Lire la suiteLe concept de multipolarité d’Alexander Douguine est une idée formidable. La multipolarité représente à la fois une tendance et une stratégie. Les civilisations vont remplacer les nations dans la géopolitique.
Lire la suitesi Trump gagne, la violence des discours viendra s’ajouter à une surenchère militaire contre les Palestiniens, le Hezbollah, l’Iran et la Chine. La patience à l’égard de Zelenski et les crédits illimités à l’Ukraine vont peut-être diminuer mais pas le soutien stratégique, trop important pour maintenir l’Europe en état de vassalité et la Russie hors-jeu : n’oublions pas que Trump a armé l’Ukraine et formé ses troupes pendant toute la durée de son mandat entre 2016 et 2020, et que Biden n’a plus eu qu’à récolter les fruits de cet investissement après son élection, lorsqu’il s’est opposé à toute forme de négociation avec les Russes avant le 24 février 2022
Lire la suiteLes Échos a publié le 27 août un article intitulé Chine : le tremblement, c’est maintenant, dans lequel, sous prétexte de discuter des questions économiques chinoises, il critique de manière infondée la politique chinoise et attaque les politiques intérieures et extérieures de la Chine. Ses points de vue désuets et stéréotypés, ses arguments faux et partiaux, et sa logique confuse démontrent parfaitement le suprématisme et l’arrogance de certains occidentaux.
Lire la suiteAinsi va la Chine, à mille lieux de ce qu’on imagine en Occident. Poursuivant leur odyssée, les Chinois ne vont pas remplacer leur système par le système occidental. Il est admis depuis 1949 que le parti communiste est l’organe dirigeant de la société et qu’il en fixe les orientations politiques. Ce parti accepte le débat interne mais il ne veut pas de concurrent externe. On peut le déplorer, mais c’est aux Chinois d’en décider. Cette direction unifiée donne sa cohésion à l’ensemble du système. Elle est jugée sur ses résultats, conformément à une éthique d’inspiration confucéenne où les dirigeants sont tenus de servir et non de se servir.
Lire la suiteLe ministre chinois des affaires étrangères, Wang Yi, a exprimé sa volonté de collaborer avec le conseiller à la sécurité nationale (NSA) de l’Inde, Ajit Doval, afin de « gérer correctement » les questions liées à la frontière dans le cadre du conflit en cours dans l’est du Ladakh.
Lire la suiteSource : fmprc.gov.cn – 23 juillet 2024 – Ministry of foreign affairs of the people’s republic of China https://www.fmprc.gov.cn/mfa_eng/zxxx_662805/202407/t20240723_11458788.html Abonnez-vous
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