De Gaulle face à la doctrine Hallstein : où comment le projet hitlérien et himmlérien de l’Europe fut reconduit après la guerre – Nicolas Bonnal

Walter Hallstein, pour ceux qui ne le sauraient pas encore (malgré François Asselineau ou Etienne
Chouard) est un ancien juriste nazi devenu patron de la première commission européenne. C’est lui
qui a fait de notre Europe un Lebensraum germano-américain à la solde du mondialisme et du
déracinement. Comme disait mon ami John Laughland dans son livre publié il y a déjà vingt ans, les
origines de leur Europe ne sont pas démocratiques. Leur source est pourrie (tainted). L’involution
satanique de l’institution n’a rien pour nous surprendre.

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SOROS, BERGSON ET LES BLASPHÈMES DE LA SOCIÉTÉ OUVERTE – Nicolas Bonnal

e sujet effrayant mériterait un livre détaillé. La société ouverte de Soros veut
imposer le chaos partout : comme le chaos n’est pas naturel (relisez Gilles Chatelet) il
faut l’imposer par la force, un peu comme le néolibéralisme s’impose par les thérapies
de choc. Mais d’où vient cette société ouverte qui veut nous clouer le bec ?

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Eric Zemmour et la destruction de la culture française (par Malraux)sous de Gaulle – Nicolas Bonnal

De Gaulle était, dans ses goûts artistiques, un « ancien » ; il
écrivait comme Chateaubriand, goûtait la prose classique d’un
Mauriac bien davantage que celle torrentielle de son ministre de la
Culture ; il préférait Poussin à Picasso, Bach à Stockhausen. La
France était pour lui l’héritière de l’Italie de la Renaissance, et de la
conception grecque de la beauté. Malraux, lui, était un « moderne »
; hormis quelques génies exceptionnels (Vermeer, Goya,
Rembrandt), il rejetait en vrac l’héritage classique de la
Renaissance, et lui préférait ce qu’il appelait « le grand style de
l’humanité », qu’il retrouvait en Afrique, en Asie, au Japon, en
Amérique précolombienne. Il jetait pardessus bord la conception
gréco-latine de la beauté et de la représentation

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Gustave de Beaumont et la critique radicale de la démocratie américaine – Nicolas Bonnal

Beaumont comprend comme Baudelaire et aussi Edgar Poe qu’avec l’Amérique on entre dans un
nouvel âge du monde : l’âge de l’intérêt  matériel, du conformisme moral (la tyrannie de la majorité)
et de la standardisation industrielle. Et comme Chateaubriand et avant Nietzsche il pense que :
« Tout d’ailleurs s’était rapetissé dans le monde, les choses comme les hommes. On voyait des
instruments de pouvoir, faits pour des géants, et maniés par des pygmées, des traditions de force
exploitées par des infirmes, et des essais de gloire tentés par des médiocrités. »
Beaumont a raison : le monde moderne c’est Lilliput.

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Impasse française : avertissement pour les rares survivants – Nicolas Bonnal

Rien sur le Grand Reset, rien sur la ruine du continent, rien sur cette guerre au
puissant binôme Chine-Russie, rien sur les milliards US qui contrôlent nos
politiciens, rien sur le camp de concentration numérique. De l’anti-Macron
mais pas trop : car sinon on aurait Marie Le Pen qui reste comme Hitler – dixit
une des idiotes. Marine Le Pen (je la connais comme Lévy d’ailleurs) joue au
centre et échouera ou fera du Meloni.

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Hollywood et la russophobie – Nicolas Bonnal

Dans les années 80, Hollywood envoyait Schwarzenegger égorger des latinos en Amérique centrale ou du sud (Commando, Predator, Collateral Damage); ou bien, quand on avait moins d’argent, on envoyait Chuck Norris. Dans les années 90, alors que l’on prépare l’opinion aux attentats du 11 septembre et aux guerres qui s’ensuivent, on ne cesse de montrer au public des films consacrés au terrorisme islamiste. Enfin, dans les années trente, pour remonter le cours du temps, les épisodes de Buck Rogers nous initiaient au péril jaune.

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La guerre de Crimée (1853-1856) et la russophobie à travers les âges – Nicolas Bonnal

Ici ce qui m’intéresse c’est de rappeler que tous les gouvernements de ce continent zombi approuvent systématiquement ce que font les américains. Les américains ont droit de vie et de mort sur toute cette planète et tout le monde est content en Europe. Vers 1850 c’est l’Europe occidentale – le couple franco-britannique – qui a ce droit (et refusera de le partager avec l’Allemagne) et qui, avant les USA, s’estime le messie des nations sur cette pauvre terre – pour la piller ou la détruire ou la moderniser…

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