Balzac et la première rébellion féministe des femmes – Nicolas Bonnal

C’est le fardeau de la personnalité qui va apparaître, dont parlera plus tard Pearson, et dont se
moquera Nietzsche dans son Zarathoustra. Debord évoquera ce conglomérat de solitudes sans
illusions que nous sommes devenus. Tout cela se termine par une destruction – destruction ou
anéantissement ? – de la démographie européenne qui aujourd’hui s’exporte au reste du monde

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George Soros et la société ouverte

Le départ de George Soros marque la fin d’une époque caractérisée par un Occident triomphant et riche, sorti de la guerre froide, imposant sa vision du monde et ses principes moraux à la scène mondiale. Cependant, les temps ont changé, et cette prise de conscience a sans aucun doute frappé George Soros lorsqu’il a désigné son fils pour lui succéder. L’Open Society Foundations se heurte de plus en plus à des résistances dans de nombreux pays et le modèle mis en œuvre avec succès en Occident s’avérera difficile à reproduire sur d’autres continents.

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Tyrannie humanitaire : René Guénon et la monstruosité occidentale – Nicolas Bonnal

La civilisation occidentale devient totalement dégoûtante aux yeux du monde et
des antisystèmes. Elle déraille sur le plan spirituel, économique, écologique,
culturel, sexuel, elle est toujours plus folle et belliqueuse, humanitaire et
missionnaire, arrogante et psychopathe. Problème : elle a souvent été comme ça
pendant son histoire.

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Crimée et châtiment : Dostoïevski et la russophobie éternelle è Nicolas Bonnal

Certaines et certains croient que la Russie est impopulaire du fait de l’acharnement américain. Rien
n’est plus faux : l’Europe a toujours voulu plus ou moins la guerre (France, Allemagne, Autriche,
Angleterre), ou victime à l’Est de l’Empire russe ou du communisme, et cela ne s’efface pas comme
ça.
Un qui avait tout compris est Dostoïevski.

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James Fenimore Cooper et le rejet de l’Amérique moderne et démocrate – Nicolas Bonnal

Grand nostalgique, l’écrivain James Fenimore Cooper encense les indiens et rejette le monde moderne.
Nous avons déjà relié son œuvre à celle de Tolkien, les indiens en voie de disparition y tenant les rôles
des elfes, êtres supérieurs en voie d’exil et d’extinction.

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L’hégémonie américaine – Du libéralisme au nihilisme

Le néolibéralisme économique et le progressisme sociétal consument les sociétés occidentales déchristianisées. À ce stade, nous ne pouvons plus parler d’idéologies structurantes mais de politiques économiques, sociales et sociétales nihilistes. Le nihilisme a également atteint le domaine du droit. Ce qui se traduit, notamment, par un état d’exception permanent, lequel a été répandu à l’échelle occidental par les États-Unis à la suite des attentats du 11 septembre 2001.

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Evolution récente du déficit commercial US vis à vis de la Chine

Le déficit commercial US à l’égard de la Chine a toujours existé depuis que les échanges ont été
établis entre les deux pays. Il est intéressant de voir son évolution depuis 1990 (effondrement de
l’Union soviétique) et nos jours et plus particulièrement son évolution depuis le début de l’opération
spéciale russe en Ukraine.

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La Russie a-t-elle dépassé l’Allemagne pour le PIB/PPA, selon le FMI et la Banque mondiale ?

Chacun devrait commencer à comprendre que les opérations militaires entre l’occident otanien et la Russie en Ukraine ne sont que la partie  émergée de l’iceberg d’un bras de fer planétaire entre le camp de l’hégémon US et celui de la multipolarité conduite par la Russie et ses amis BRICS et OCS. C’est la résilience économique et financière qui désignera le vainqueur et la dédollarisation progressive de l’économie mondiale constituera l’élément déterminant sur le résultat de ce bras de fer.

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JRR Tolkien contre le monde moderne : une mise au point – Nicolas Bonnal

Ce texte est extrait d’un chapitre de notre deuxième livre sur Tolkien (Ed. Avatar). Le premier édité
aux Belles Lettres fut traduit et publié en Russie en 2002.
But it is the aeroplane of war that is the real villain.  (Mais c'est l'avion de guerre qui est ici le vrai
méchant.) – Tolkien
Nous sommes la civilisation de la destruction du monde. – Philippe Grasset

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