Se réengager en Asie du Sud: la voie de Trump pour équilibrer la stabilité régionale et les intérêts stratégiques

Au cours de sa précédente présidence, l’approche de la politique étrangère de Donald Trump à l’égard de l’Asie du Sud était caractérisée par un mélange de diplomatie transactionnelle et d’équilibre stratégique, en particulier dans la gestion des relations avec l’Inde et le Pakistan. Avec le retour récent de M. Trump au pouvoir, l’avenir nous dira comment il choisira de s’engager dans cette région complexe, en particulier avec l’Inde et le Pakistan, qui jouent un rôle essentiel dans les intérêts stratégiques des États-Unis.

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Et pendant que le monde a les yeux rivés sur Donald Trump, le mondialisme avance !

Source : francesoir.fr – 12 novembre 2024 – Claude Janvier https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/et-pendant-que-le-monde-les-yeux-rives-sur-donald-trump-le-mondialisme-avance Abonnez-vous au canal Telegram Strategika pour ne rien rater de notre

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Kissinger et la frivolité stratégique – Nicolas Bonnal

La frivolité stratégique, notion dessinée par Kissinger dans ses œuvres, est devenue une donnée permanente en occident, à l’heure où nous risquons de sombrer dans un énième et espérons-le définitif holocauste militaire-humanitaire. Mais laissons de côté les risques actuels et rappelons ce que nous disait ce maître sous-estimé et grand amateur (comme votre serviteur modeste) du grand dix-neuvième siècle alors :

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Les États-Unis menacent leurs alliés si ils ne barrent pas la route à la Chine

Le gouvernement américain menace d’imposer des restrictions commerciales sévères, si ses alliés comme le Japon et les Pays-Bas ne prennent eux-mêmes pas des mesures plus strictes pour maintenir leurs technologies de puces les plus sophistiquées hors de portée des Chinois.

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Les États-Unis courtisent la Turquie, un allié de l’OTAN en rupture de ban

Washington a dépoussiéré sa vieille boîte à outils pour réengager son allié de la guerre froide, la Turquie, et ressusciter leur alliance moribonde afin de servir les intérêts géostratégiques des États-Unis dans un environnement régional en mutation rapide. Cette démarche découle de la prise de conscience qu’en dépit de la diabolisation du président Recep Erdogan pour son inconstance, le potentiel de la Turquie en tant qu’«État pivot» reste une réalité géopolitique.

Il est permis de penser que cette prise de conscience fait suite à la reconnaissance, à contrecœur, par Washington que le vieux dogme du «vous êtes avec nous ou contre nous» ne peut et ne doit pas s’appliquer à des pays émergents comme la Turquie – ou l’Inde, l’Indonésie, le Brésil, etc. d’ailleurs – à une époque où l’influence des États-Unis dans les affaires mondiales diminue.

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L’ESCALADE OU LA MONTEE AUX EXTREMES DE LA VIOLENCE

La haine et l’hostilité déterminent la politique intérieure, française et européenne, sans aucune proportionnalité entre le coût et les enjeux et le suffrage ne dirige guère une volonté, ni populaire ni représentative (ou présidentielle), car la fracture sociale, raciale et politique et la psychopathie du décideur ont remplacé totalement le sens ancien du mot « démocratie »

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Victoria Nuland has a body count comparable to Kissinger’s

US ambassador Victoria Nuland has announced she will retire in the coming weeks. If you’re not an American reader, you might not know who Victoria Nuland is, so let me clarify: she is basically the harbinger of death, the architect of wars, the modern day Henry Kissinger. I don’t want to sit and calculate her body count so let me just say it’s high. Really high.

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