Langue française piégeuse, précise, diplomatique & exigeante

La nation France a codifié les usages universels intemporels L’ignorance de la langue est le premier pas vers la dégénérescenceLe français, par son orthographe complexe et son absence de correspondance systématique entre l’écrit et l’oral,  se distingue des langues phonétiques telles que l’italien ou l’espagnol, où toutes les lettres se prononcent.e Cette singularité en fait une langue d’exception, raffinée, aristocratique et exigeante, difficile à la maîtrise, où la rigueur intellectuelle et grammaticale est de mise

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Une théorie des civilisations dans les années 1920-1940: Feliks Koneczny

« Il n’est pas possible d’être civilisé de deux manières », dit Feliks Koneczny. Cette formule est vertigineuse. Elle bat en brèche l’universalisme. Elle ne dit pas qu’il y a « nous » et « les barbares ». Elle dit que l’on n’accède à cette forme universelle d’évolution de l’homme qu’est la civilisation que par plusieurs voies. En d’autres termes, il y a bien des façons d’être civilisé, mais il faut choisir : on ne peut être civilisé à cheval entre deux cultures (ou plus). On peut certes connaitre l’influence de diverses cultures, mais l’une doit être clairement prédominante. Dans l’histoire de l’humanité, la civilisation consiste précisément en ce qu’il y a toujours plusieurs civilisations. De même que l’existence d’une nation suppose qu’il y ait à côté d’autres nations.

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Ilyes Zouari : « Pourquoi la France est encore une grande puissance… un rapide bréviaire ! »

IIlyes Zouari, fondateur du CERMF (consacré au rayonnement de la langue française !), a bien voulu nous accorder une interview consacrée au rayonnement de la France. Il montre comment le rayonnement de notre pays et de sa langue excèdent largement le cadre étroit auquel les Anglophones nous assignent. Cette émission vaut son pesant de cacahuètes : elle explique comment la France excède largement la France… et pourquoi il faut y réfléchir mûrement.

La France de toujours commence… avec le Français !

Que nous le veuillons ou non, une grande partie de notre rayonnement tient à notre langue elle-même, qui, somme toute, fait partie du trio des langues les plus pratiquées dans le monde. Chacun aura, ensuite, sa méthode de calcul.

Mais Ilyes Zouari a bien voulu, pour nous, doubler cette analyse avec une prise en considération de la surface réelle de la France, notamment de la surface de son espace maritime. Mine de rien, et quoiqu’en dise, nous sommes une grande puissance.

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Tellurisme, grande santé et re-production de la vie – Nicolas Bonnal

On va reparler de Spengler mais je voudrais faire quelques rappels pour expliquer pourquoi les Européens agonisent depuis longtemps. Nietzsche en a parlé, et Yockey et Drieu… les grands penseurs enracinés américains (Madison Grant notamment) ont aussi vu ce risque : la liquidation du paysan-soldat républicain heureux dans le monde de la ville, de la consommation et de l’industrie.

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Stefan Zweig et l’autodissolution du monde moderne dans l’américanisation – Nicolas Bonnal

On dit Hollywood en liquidation à cause du LGBTQ, on dit l’Empire US en voie de disparition, on dit
Trump en voie de réélection, on dit le dollar en voie de disparition, on dit tant de choses…
La réalité c’est que le triomphe US sur les esprits (la démocratie s’attaque aux esprits, pas aux corps,
combien de fois me faudra-t-il te répéter, Tocqueville ?) est total et universel. 1.5 milliard de dollars
pour le lamentable navet LGBTQ Barbie, un milliard ou plus pour le triquard Top Gun. La surpuissance
de la machine américaine sur le monde est totale – et immatérielle.

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Eric Zemmour et la destruction de la culture française (par Malraux)sous de Gaulle – Nicolas Bonnal

De Gaulle était, dans ses goûts artistiques, un « ancien » ; il
écrivait comme Chateaubriand, goûtait la prose classique d’un
Mauriac bien davantage que celle torrentielle de son ministre de la
Culture ; il préférait Poussin à Picasso, Bach à Stockhausen. La
France était pour lui l’héritière de l’Italie de la Renaissance, et de la
conception grecque de la beauté. Malraux, lui, était un « moderne »
; hormis quelques génies exceptionnels (Vermeer, Goya,
Rembrandt), il rejetait en vrac l’héritage classique de la
Renaissance, et lui préférait ce qu’il appelait « le grand style de
l’humanité », qu’il retrouvait en Afrique, en Asie, au Japon, en
Amérique précolombienne. Il jetait pardessus bord la conception
gréco-latine de la beauté et de la représentation

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Hollywood et la théorie de la conspiration – Nicolas Bonnal

Hollywood peut se permettre ce type de film. Le public n’y voit que du feu. Et il est idiot d’ignorer cette évidence : le système n’a pas besoin d’avancer par énigmes. La masse étant aveugle, on n’a pas besoin de lui bander les yeux.

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