Louis-Ferdinand Céline et le grand esprit humanitaire occidental – Nicolas Bonnal

Tout le monde comprend peu à peu la farce humanitaire : il y a la victime qui compte et celle qui ne
compte pas (russe, palestinienne, etc.) ; il y a la cible qui compte et celle qui ne compte pas. Mais
tout cela se base sur un culte humanitaire né au XVIIIème siècle et appliqué depuis bien longtemps.

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Tocqueville et le mal français – Nicolas Bonnal

La vérité est, vérité déplorable, que le goût des fonctions publiques et le désir de vivre de l’impôt ne sont point chez nous une maladie particulière à un parti, c’est la grande et permanente infirmité de la nation elle-même ; c’est le produit combiné de la constitution démocratique de notre société civile et de la centralisation excessive de notre gouvernement ; c’est ce mal secret, qui a rongé tous les anciens pouvoirs et qui rongera de même tous les nouveaux.

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G20 et passe sanitaire : comment le virtuel nous prive de notre perception et de la révolution – Nicolas Bonnal

Autrement dit d’un côté on est informé pour se révolter. De l’autre on est désarmé pour réagir. Ce ne sont pas les armes que les révolutionnaires devraient confisquer au troupeau : c’est son smartphone.

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Vaccin, Reset, sanctions : retour sur les victimes sans valeur de Chomsky – Nicolas Bonnal

Le Monde fait officiellement l’éloge du dépeuplement maintenant avec des brochettes de signataires. Il y a ceux qui pourront continuer de voler en jet pour participer à des sommets écolos et les autres qui devront crever sans bagnole, sans nourriture, sans train ou sans chauffage dans les hôpitaux. C’est déjà le cas puisque dans nos hôpitaux on ne soigne ni ne nourrit ni ne chauffe, trop occupé qu’on est à vacciner. L’explosion de la mortalité ? Très bon pour l’économie, ce reniement achevé de l’homme (Marx). Tout cela m’a remémoré la notion d’unworthy victims de Chomsky : l’unworthy victim c’est la victime indigne, la victime worthless (sans valeur) dont on ne parle pas dans la presse occidentale qui depuis un siècle et demi mène le monde. Une victime ne devient jamais victime par hasard ; elle ne devient victime légitime que lorsqu’elle sert l’agenda génocidaire de nos mécréants milliardaires et de leurs agents bureaucratiques mondialistes.

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De notre devenir termite via Davos, Sunak et Harari – Nicolas Bonnal

Harari s’est fendu en 2018 (voir The Atlantic) d’un texte expliquant (et comme il raison !) que l’informatique n’est pas compatible avec la démocratie mais avec la tyrannie. Ils ont donc dix à vingt ans pour dépeupler une terre préalablement abrutie et soumise par le « Tittytainment » de l’autre – dont fait partie le cirque politique, notamment populiste. Je rappelle avec Mgr Gaume (voyez aussi mes textes) que l’ubiquité et la rapidité sont les deux caractères du démon. La technologie a rendu imparable tous ses maléfices

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Pasolini et la culture comme arme de destruction massive – Nicolas Bonnal

Pasolini observe que le vrai Grand Remplacement, celui des âmes et des cerveaux, a eu lieu avec notre américanisation, l’hédonisme et la télévision. « leur silence et leur passivité ont l’apparence d’une atroce névrose euphorique, qui leur fait accepter sans aucune résistance le nouvel hédonisme avec lequel le pouvoir réel remplace les hautes valeurs morales du passé. »

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Vers une belle débâcle occidentale – Nicolas Bonnal

La folie occidentale est certes ancienne, elle est d’origine anglo-saxonne. Il y a à la fois une volonté de piller le monde, de le transformer moralement (sur le mode biblique et puritain, donc incohérent ou inconsistant – cf. Hobson), de le raser au besoin (Hiroshima, Dresde, Hambourg, Vietnam, etc.) tout en se fondant sur une religion régulièrement satanique : repenser au Hellfire club, dont on pourrait en parler pendant des heures. L’affolement culturel et sociétal d’aujourd’hui n’a pas d’autre source : on se réveille avec une gueule de bois à la Dorian Gray.

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Patrick McGoohan, le prisonnier et le nouvel ordre mondial – Nicolas Bonnal

On a déjà souligné que le combat du prisonnier semble biaisé, piégeant. Omar Khayyâm nous avait prévenus il y a mille ans sur ces grandes guerres feintes (quatrain CIII) :
« Voici la seule vérité. Nous sommes les pions de la mystérieuse partie d’échecs jouée par Allah. Il nous déplace, nous arrête, nous pousse encore, puis nous lance, un à un, dans la boîte du néant. »

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Frédéric Bernays et Louis-Ferdinand Céline face au conditionnement moderne – Nicolas Bonnal

Céline : « Pour s’imposer au goût, à l’admiration des foules les plus abruties, des spectateurs, des électeurs les plus mélasseux, des plus stupides avaleurs de sornettes, des plus cons jobardeurs frénétiques du Progrès, l’article à lancer doit être encore plus con, plus méprisable qu’eux tous à la fois. »

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