Hollywood et la théorie de la conspiration – Nicolas Bonnal

Hollywood peut se permettre ce type de film. Le public n’y voit que du feu. Et il est idiot d’ignorer cette évidence : le système n’a pas besoin d’avancer par énigmes. La masse étant aveugle, on n’a pas besoin de lui bander les yeux.

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Heidegger et le grand refus de l’agriculture motorisée – Nicolas Bonnal

Dans la pensée allemande des temps dits modernes, avant l’élimination totale de l’Allemagne tellurique et philosophique, on note une belle réflexion nostalgique sur un passé grec alcyonien ou bien une vision pessimiste par rapport au progrès. Au début du vingtième siècle, le poète philosophe Rilke évoque dans son admirable huitième élégie cet animal qui voit dans l’ouvert à plein regard, ce que ne peut plus faire l’homme, homme qui se tient devant le monde. Tout cela est lié à l’involution anthropologique, conséquence de l’avènement d’une société hyper-technique dont l’Allemagne, de Bismarck à Merkel via l’autre, fut et reste la caricature (Metropolis…).

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SOROS, GATES, SCHWAB : COMPRENDRE ET DÉSIGNER L’ENNEMI GLOBALISTE ! AVEC PIERRE-ANTOINE PLAQUEVENT

Lors de notre dernier entretien sur la chaîne, Pierre-Antoine Plaquevent est venu échanger autour de son dernier livre : Globalisme et dépopulation

Face à la censure immédiate autour de ce sujet fondamental, il est temps d’attaquer le sujet frontalement et de désigner clairement l’ennemi globaliste et ses objectifs.

Klaus Schwab, Georges Soros, Bill Gates etc. Voilà des noms de personnalités influentes, agissant de manière coordonnées pour suivre un agenda bien précis, l’agenda mondialiste.

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Louis-Ferdinand Céline et le grand esprit humanitaire occidental – Nicolas Bonnal

Tout le monde comprend peu à peu la farce humanitaire : il y a la victime qui compte et celle qui ne
compte pas (russe, palestinienne, etc.) ; il y a la cible qui compte et celle qui ne compte pas. Mais
tout cela se base sur un culte humanitaire né au XVIIIème siècle et appliqué depuis bien longtemps.

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Tocqueville et le mal français – Nicolas Bonnal

La vérité est, vérité déplorable, que le goût des fonctions publiques et le désir de vivre de l’impôt ne sont point chez nous une maladie particulière à un parti, c’est la grande et permanente infirmité de la nation elle-même ; c’est le produit combiné de la constitution démocratique de notre société civile et de la centralisation excessive de notre gouvernement ; c’est ce mal secret, qui a rongé tous les anciens pouvoirs et qui rongera de même tous les nouveaux.

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G20 et passe sanitaire : comment le virtuel nous prive de notre perception et de la révolution – Nicolas Bonnal

Autrement dit d’un côté on est informé pour se révolter. De l’autre on est désarmé pour réagir. Ce ne sont pas les armes que les révolutionnaires devraient confisquer au troupeau : c’est son smartphone.

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Vaccin, Reset, sanctions : retour sur les victimes sans valeur de Chomsky – Nicolas Bonnal

Le Monde fait officiellement l’éloge du dépeuplement maintenant avec des brochettes de signataires. Il y a ceux qui pourront continuer de voler en jet pour participer à des sommets écolos et les autres qui devront crever sans bagnole, sans nourriture, sans train ou sans chauffage dans les hôpitaux. C’est déjà le cas puisque dans nos hôpitaux on ne soigne ni ne nourrit ni ne chauffe, trop occupé qu’on est à vacciner. L’explosion de la mortalité ? Très bon pour l’économie, ce reniement achevé de l’homme (Marx). Tout cela m’a remémoré la notion d’unworthy victims de Chomsky : l’unworthy victim c’est la victime indigne, la victime worthless (sans valeur) dont on ne parle pas dans la presse occidentale qui depuis un siècle et demi mène le monde. Une victime ne devient jamais victime par hasard ; elle ne devient victime légitime que lorsqu’elle sert l’agenda génocidaire de nos mécréants milliardaires et de leurs agents bureaucratiques mondialistes.

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De notre devenir termite via Davos, Sunak et Harari – Nicolas Bonnal

Harari s’est fendu en 2018 (voir The Atlantic) d’un texte expliquant (et comme il raison !) que l’informatique n’est pas compatible avec la démocratie mais avec la tyrannie. Ils ont donc dix à vingt ans pour dépeupler une terre préalablement abrutie et soumise par le « Tittytainment » de l’autre – dont fait partie le cirque politique, notamment populiste. Je rappelle avec Mgr Gaume (voyez aussi mes textes) que l’ubiquité et la rapidité sont les deux caractères du démon. La technologie a rendu imparable tous ses maléfices

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