L’abolition de l’État de droit et la renaissance de la violence politique – Youssef Hindi
La fin de l’État de droit et la renaissance de la violence politique, produits directs du couple historico-dialectique « dictature/révolte ».
Lire la suiteLa fin de l’État de droit et la renaissance de la violence politique, produits directs du couple historico-dialectique « dictature/révolte ».
Lire la suiteLe présent dossier aborde un autre aspect : la crise civilisationnelle que le
Covid-19 a révélé mais que l’Occident traverse depuis de nombreuses
décennies. Nous avons constaté, à l’occasion de cette pandémie, la folie
collective s’étant saisi des élites occidentales qui, par leur politique mortifère, font bien plus de victimes que le virus du Covid-19 dont la létalité est extrêmement faible (inférieure à 1%, avec des variations en fonction des lieux). Cette folie collective a atteint également une partie des populations occidentales qui accepte d’être menée à l’abattoir économique, social et sanitaire.
Sous-titrée : « Saoudo-wahhabisme, Frères musulmans, réformisme, maçonnerie et services secrets anglo-américains », l’étude l’islam politique de Youssef Hindi sera prochainement disponible en livre chez KA’ Éditions en partenariat avec Strategika.
Lire la suiteLe présent dossier retracera à grands traits l’histoire ethnique, territoriale et géopolitique de l’empire marocain, avant de se focaliser sur l’époque contemporaine qui se caractérise, à partir du début du XIXe siècle, par une chute de puissance, une décadence politique, un dépeçage par les puissances coloniales et une amputation par ces dernières d’une partie des territoires historiques du Maroc.
Les alliances du royaume chérifien, que l’on peut juger comme étant contre nature, sont l’héritage de cette histoire précoloniale, coloniale et post coloniale, ainsi que de la période de guerre froide.
Ce sont ces évolutions historiques des XIXe et XXe siècles qui permettent également de saisir la nature complexe, fraternelle et conflictuelle de la relation algéro-marocaine.
La seconde partie du dossier analysera la stratégie et le comportement des israéliens – et de leurs relais – vis-à-vis du Maroc et du reste du monde arabo-musulman. Nous verrons que la reconnaissance, par Donald Trump, du Sahara marocain, obtenue par le lobby pro-israélien, risque d’être éphémère, et que ceux qui la remettent d’ores et déjà en question sont également de fidèles serviteurs d’Israël au Sénat et dans l’appareil d’État américain. Cela n’est guère surprenant lorsque l’on connaît la vision du monde, les valeurs et les méthodes du lobby juif sioniste, coutumier du double jeu, ce que le Maroc pourrait apprendre à ses dépends.
Lire la suiteSaoudo-wahhabisme, Frères musulmans, réformisme, maçonnerie et services secrets anglo-américains Par Youssef HINDI pour strategika.fr Le thème de l’islam politique, autrement
Lire la suiteLes vagues successives d’attentats terroristes qui ont frappé la France durant la décennie qui vient de s’écouler n’ont jamais fait l’objet, dans les grands médias et la classe politique, d’un examen complet des causes, des responsables, des coupables et des finalités. La multitude des « analyses » et des discours sur ces questions sont au mieux fragmentaires, au pire biaisés voire mensongers.
Lire la suiteLe présent dossier est une enquête géopolitique visant à trouver le mobile et le ou les auteurs des crimes commis au Liban, en Iran, en Syrie et aux Émirats arabes unis. Les tenants et les aboutissants des événements qui ont eu lieu ces derniers mois au Proche-Orient ne peuvent être saisis séparément. Une interconnexion méthodique des faits, analysés dans une perspective géopolitique et historique forme une constellation dessinant le visage du coupable.
Lire la suitePar Youssef Hindi pour Strategika. La crise du coronavirus a accéléré et accentué des processus historiques, économiques et géopolitiques en
Lire la suiteDepuis le début de la guerre contre la Syrie en 2011, Recep Tayyip Erdogan, en tant que Premier ministre (2003-2014) et Président de la République de Turquie (depuis 2014) a engagé son pays, aux côtés, entre autres, des États-Unis, de l’Arabie saoudite et d’Israël, dans une guerre, par l’intermédiaire de groupes terroristes qu’il soutient, abrite et arme. En tant que membre de l’OTAN, la Turquie a offert son plein soutien à la coalition occidentale, sous l’autorité des États-Unis, dans la tentative de démembrement du Levant, conformément à l’application du plan israélien Oded Yinon[i]. La déstabilisation de la Syrie est, du point de vue de l’expansionniste Erdogan, une opportunité de se tailler une part du territoire du pays du Cham.
Lire la suite« Je présente mes condoléances à l’Imam caché », c’est ainsi que l’Ayatollah Khamenei, Guide suprême de la Révolution islamique, s’adressait à la nation iranienne au moment de rendre hommage au général Qassem Soleimani tué le 3 janvier dernier par un raid américain.[1]
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