Douce France
La majorité des petits-enfants et arrière-petits-enfants (car il s’agit de cela maintenant) d’immigrés non européens ont opté pour une intégration conflictuelle qui consiste à traire la vache de l’aide sociale et à jouir de la politique judiciaire du pardon, souvent de l’impunité, de « discrimination positive » qui perdure depuis plus de quarante ans en leur faveur, articulant à la fois un choix de vie séditieux et agressif qui s’accompagne d’une rhétorique victimaire pour laquelle la « discrimination positive » est sans cesse renversée et présentée comme racisme immédiat. Ce qui, en France, n’est rien moins que ridicule.
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