Tocqueville et Thucydide face au bellicisme démocratique/occidental/thalassocratique – Nicolas Bonnal

Dans sa guerre du Péloponnèse, Thucydide raconte la Guerre de Trente ans menée par les Athéniens contre le reste de la Grèce et, s’ils l’avaient pu, contre le reste du monde. Thucydide cite au livre II (chapitres XXXV-XL) les grandes lignes du discours du stratège Périclès, qui convainc son peuple de démarrer la guerre. J’en cite les principaux points, où Périclès ne cesse de marteler son message : la supériorité ontologique de la démocratie qui lui fait un devoir d’éliminer tout adversaire.

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Le meurtre de Daria Douguina ou l’Holocauste de l’Europe

Et découvrir qui était Daria. Comparez sa biographie à celle de nombreuses jeunes femmes espagnoles conçues, comme des produits de série, par l’empire du dollar. Regardez autour de vous et comparez. Recherchez ce degré d’engagement et ce désir d’exceller chez les femmes espagnoles et d’Europe occidentale de son âge. Ce n’est pas facile… Alors que tout pourrit autour de vous, défendez-vous en lisant. Et sauvez-vous en condamnant toujours la mort d’innocents. Et épargnez-vous des idées condamnables. Vous n’êtes pas obligé d’aimer la philosophie de Douguine, mais ne condamnez pas cet homme à mort pour cela. Avec des maximes aussi simples, nous sauvons l’Europe et nous nous débarrassons de l’Occident.

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Les « alliances de bloc » sont mortes et l’Occident ne le comprend pas

Ces évolutions sont aussi une manière de désamorcer la bombe huntingtonienne, celle d’« une guerre de civilisations ». Ce qu’il y avait de dangereux dans la théorie de Samuel Huntington, était lié à sa nature de prophétie auto-réalisatrice. Rationnellement la thèse ne tenait pas, mais on investissait tellement dans cette idée qu’elle finissait par prendre sens. Or on voit bien que ces formes nouvelles de connivence se font en négation de tout alignement idéologique ou culturel.

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De la pleurnicherie humanitaire à la mission génocidaire occidentale – Nicolas Bonnal

La pleurnicherie humanitaire c’est aussi l’arme pour repeupler l’Europe ou ce qu’il en reste (ce n’est pas que les vieux machins imbibés de télé que nous sommes devenus m’inspirent de la pitié, mais…). Merkel a commencé par pleurnicher avant de faire rentrer deux millions de migrants dont 12% ont obtenu un travail. On ne parlera pas du reste. Il faut trouver un bon sujet de pleuraison, si j’ose dire, mot qui remplace la raison : tout sera bon pour incriminer le petit homme blanc (le juif du vingt-et-unième siècle, dit justement Jonah Goldberg dans son étude magistrale sur le fascisme libéral) qui est de trop sur cette terre et lui reprocher sa simple existence. Les gouvernements européens, tous de centre-gauche au service des oligarques américains, se doivent donc de réduire leur stock de populations à seule fin (faim) de satisfaire les agents malthusiens de nos élites enturbannées.

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Poutine face à la dictature génocidaire européenne – Nicolas Bonnal

Comme dit Trotski, si tu veux obéir au capital américain et mettre l’européen à la portion congrue (voyez mon texte), vote socialiste ! Marié au mondialisme, au multiculturalisme et au féminisme mondain, la deuxième internationale ne s’est jamais aussi bien portée, qui contrôle les deux tiers (les deux tiers ou la totalité ?) du parlement français. Les peuples zombis occidentaux convaincus d’être les lumières du monde se laisseront mener jusqu’au bout à l’abattoir. La liquidation des européens via le vaccin ou cette année les sanctions devient un fait avéré, sauf pour la masse des idiots et la minorité des saligauds qui les mènent à l’abattoir.

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Martyanov et la montée eschatologique de la stupidité en occident – Nicolas Bonnal

Que nous apprend cette crise du virus, cet idéal de frugalité énergétique, ce goût presque teutonique pour le camp de concentration planétaire ? Que nous sommes des idiots et des lâches dirigés par des tyrans mal élus et débiles, dont les solutions sont criminelles, suicidaires, inefficaces. Le dénominateur commun de tout cela c’est l’idiotie. La foule mondialiste veut du reset et du vaccin, de la prison et de la mort – ce que son élite appelle par exemple la transition énergétique. Elle veut aussi de l’esclavage volontaire, et cette soumission, on le sait depuis La Boétie et depuis l’Antiquité, accompagne l’idiotie.

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Sur la prochaine légitimation du cannibalisme en occident – Nicolas Bonnal

Quelques années trop tard, certains découvrent enfin le crétinisme. La télé puis les réseaux puis la technologie fabriquent un homme encore plus imbécile et limité que l’homme typographique de Macluhan, l’homme à qui on fait tout avaler. Et ceux qui ont avalé épidémie, vaccin, confinement, code QR et tutta quo sans encombre avaleront le reste, dussent-ils becqueter la moitié de leur famille décimée par le vaccin pour faire plaisir au marionnettiste.

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Accélération de l’Histoire et défaite de l’Occident

L’intervention russe en Ukraine du 24 février a constitué une grande surprise en Occident. Y compris chez ceux qui, comme l’auteur de ces lignes, considéraient que la responsabilité de l’OTAN et de l’Union européenne était lourdement engagée. Cette surprise est finalement le symptôme de ce sentiment de supériorité occidentale si présent dans les têtes, y compris chez ceux qui tentent de ne pas trop s’éloigner du réel et assistent, consternés, au basculement des élites dirigeantes dans un délire inepte. À base de refus d’évidences, de décisions absurdes, de propagande imbécile, de racisme sommaire, de pulsions suicidaires, et pour tout dire d’aveuglement assez terrifiant.

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Vaincre la Russie en exterminant son (propre) peuple : le grand pari européen – Nicolas Bonnal

La guerre contre la Russie a servi depuis le début comme je l’ai dit à nous préparer au grand reset et à la coupure d’énergie si nécessaire pour mettre fin au réchauffement climatique – c’est-à-dire à la vie humaine qui va avec. Orwell a bien dit qu’une guerre ingagnable est une guerre bonne pour l’élite qui ruine la population et qui aplatit le niveau de vie donc la capacité de réagir. Les occidentaux râlaient dans les années 60 et 70 quand leur niveau de vie augmentait, aujourd’hui qu’il s’effondre, ils rasent les murs.

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