1993 : Le plan « Barry R. Posen » pour une guerre contre la Russie utilisant l’état zombie « Ukraine » comme plateforme

nous proposons la lecture d’un autre document3 daté de 1994, plus accessible à nous profanes, et qui projette avec trente ans d’avance, une stratégie de guerre totale contre la Russie à partir de la plateforme de lancement appelée « Ukraine ». Sous le titre « A Defence Concept for Ukraine »

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ÉCHAPPER AU HACHOIR À VIANDE : AVALANCHE DE RÉFUGIÉS EN PROVENANCE DE SOLEDAR – Arnaud DEVELAY

Plutôt que la stratégie dite du «choc et la crainte» de triste mémoire utilisée contre l’Irak et d’autres puissances militaires dite «de troisième rang» (dixit le Pentagone), la Fédération de Russie a toujours privilégié une stratégie dite du «nettoyer et construire» comme en témoignent Marioupol et un nombre croissant de localités dans les zones «dénazifiées et démilitarisées» du Donbass.

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Selon Kiev, des pilotes ukrainiens suivent une formation aux États-Unis. Le Pentagone ne confirme pas

Outre les chars Leopard et Abrams, et afin de contrer l’invasion de son territoire par la Russie, l’Ukraine réclame des chasseurs-bombardiers modernes auprès de ses partenaires occidentaux depuis maintenant plusieurs mois. Seulement, cette requête n’a pour le moment pas abouti… notamment parce que les États-Unis sont réticents à la satisfaire. Et cela vaut aussi pour des avions de combat de conception russe, comme le MiG-29, que la Pologne était prête à céder à Kiev, peu après le début de la guerre.

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Ecologie, russophobie, extermination malthusienne : comment notre société mondialiste recycle Hitler – Nicolas Bonnal

J’ai écrit en 2017 un petit texte sur des commentaires de mon ami libertarien Shaffer Butler. Sur un test portant sur des hommes politiques anonymes, Shaffer s’était rendu compte que ses étudiants gauchistes écolos et humanitaires étaient plus proches d’Hitler que de Jefferson. Que dirait-il aujourd’hui alors que leur construction européenne veut accoucher d’une guerre d’extermination continentale ?

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PRESENTATION DE LA « MULTIPOLARITE AU XXIème SIECLE » ET DE « L’EUROPE, LA MULTIPOLARITE ET LE SYSTEME INTERNATIONAL – Irnerio Seminatore

Ce qui se prépare aujourd’hui et qui est conforme à la théorie des grands cycles et à la situation du monde actuel, demeure le duel du siècle entre les Etats-Unis et la Chine. Mais « quid » alors de la Russie et avec autant d’inquiétude de l’Europe ? Les interrogations proposent à l’action les grandes options de demain, mais ne donnent que l’image approximative du possible et jamais la solution accomplie. Celle-ci appartient à l’imprévu, qui est l’enfant naturel du risque et l’appétit le plus cruel de l’aventure humaine.

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Le moment décisif

La rupture du front à Soledar marque un tournant décisif dans la guerre qui se joue entre « l’Occident collectif » et le reste du monde emmené par la Russie pour l’occasion. Une question se pose : l’Occident collectif va-t-il franchir un palier dans son engagement en soutien à l’Ukraine ou bien accepter une porte de sortie ? Une question subsidiaire en découle : la co-belligérance sera-elle déclarée ou non ?

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L’Occident a tendu un piège perfide aux Russes, mais il a fait chou blanc

Selon Mme Merkel, les accords de Minsk ont été un succès à un égard, car « l’Ukraine a profité de ce temps pour devenir plus forte, comme nous le voyons aujourd’hui. L’Ukraine de cette époque n’est pas l’Ukraine d’aujourd’hui. Poutine aurait pu facilement gagner à ce moment-là. Et je doute fort que les pays de l’OTAN auraient pu faire autant à l’époque qu’ils le font aujourd’hui pour aider Kiev », a fait valoir Mme Merkel. Pour Moscou, la formule est claire : on ne peut faire confiance à l’Occident et il faut lui présenter des faits accomplis. Il n’y a rien d’autre à faire.

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L’ingérence atlantiste en Ukraine doit cesser pour permettre à l’Europe de définir un nouveau pacte de stabilité – Nicolas Mirkovic

Pour sortir de ce capharnaüm géopolitique, l’Europe n’a pas d’autre choix que de négocier une paix très rapidement entre les belligérants. Comme Bruxelles semble encore plus américaine que les Américains eux-mêmes il en revient aux nations européennes de prendre leur courage à deux mains et d’entamer des négociations sérieuses avec Washington, Moscou et Kiev. La France devrait prendre la tête de cette coalition .

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