Australie prison modèle et cinglée (suivi de: Sigmund Freud politiquement incorrect)

Il y a les fous (sélectionnés par le pouvoir mondialiste depuis trois générations) et les dressés. Les Anglo-saxons ont toujours été des dressés. Le politiquement correct a fait le reste – et le LGBTQ, la désexualisation engendrant un instinct de mort

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Ubérisation de la politique et grand effondrement

La blague fut de nous faire croire que le taxi Uber est moins cher que nos taxis de la Marne ou leurs successeurs disparus. La fin de tout professionnalisme et de toute compétence est la clé du système : d’où la nullité des personnels politiques, diplomatiques et même militaires. Mais quand on rêve de grand effondrement…

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Charles Henry Pearson, le gentleman australien qui prédisait l’entropie des blancs et la soumission sanitaire

Pearson voit où tout cela débouche : la fin de la volonté, du patriotisme, de la famille nombreuse, du génie et de la grandeur. Mais est-ce si grave ? Nous allons vers un monde sans substance (fibreless), faible et sans capacité de produire de grands changements, écrit-il. Evidemment, demande Pearson, qu’est-ce qu’une société qui n’a pas d’autre propos que de satisfaire les besoins du jour et d’en amuser la vacuité, et qui n’a rien à faire du terrible fardeau de la personnalité ?

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BFM et la liquidation des voitures et populations polluantes

Dans les antisystèmes personne ne parle de ce petit problème, qui va encore plus loin que le vaccin et nous garantit tout : misère incroyable mais tolérée ; contrôle dystopique de l’espace (« la vie moderne est un mauvais film », disait Deleuze) ; fin des approvisionnements (qui va pouvoir vous livrer sans polluer, bobos électriques ?) ; circulation ubuesque ; contrôle informatisé ; totalitarisme aveugle et satanique, puisque l’œil qui regarde Caïn ne sera pas dans la tombe mais PARTOUT.

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Marx et le délire administratif à la française

Il n’y a rien de français en France en résumé. Tout est étatique. Et Marx observe tristement : « Toutes les révolutions politiques n’ont fait que perfectionner cette machine, au lieu de la briser. Les partis qui luttèrent à tour de rôle pour le pouvoir considérèrent la conquête de cet immense édifice d’État comme la principale proie du vainqueur. »

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Remarques sur la condition nécropolitique en occident

L’emprisonnement accepté via les camps australiens et canadiens (éternelles colonies pénitentiaires du Deep State anglais finalement), le passe sanitaire, les masques, les gestes-barrière, signes tous plus aberrants les uns que les autres marquent une mortalité beaucoup plus grave et vexante que celle du Covid, une mortalité psychique.

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Israël et la fin de l’empire américain

Pourquoi alors entourer le globe de troupes, de bases et de porte-avions ? Et pourquoi dépenser 770 milliards de dollars par an pour la défense, alors qu’il y a dans chaque métropole américaine des ghettos tentaculaires où des millions d’Américains sous-éduqués croupissent dans la pauvreté, l’indignité et le déses

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Dictature sanitaire et soumission des milieux culturels

Certains s’étonnent ou font mine de s’étonner de la soumission des milieux culturels au pouvoir et à
sa dictature. Acteurs, cinéastes, metteurs en scène, chanteurs sont tous au garde-à-vous. En réalité
cette sous-mission était parfaitement prévisible et on n’imaginait pas une seconde que l’on aurait
droit à une rébellion de cette caste d’assistés.

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Le soma de Huxley et le vaccin mondialiste

Un état de crise continu justifie le contrôle continu de tout et de tout le monde par les agents du gouvernement et c’est précisément cette tension entretenue à quoi l’on peut s’attendre, dans un monde où la surpopulation crée une situation telle que la dictature sous les auspices communistes devient presque inévitable.

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Terreur républicaine et dictature sanitaire : un retour sur Taine et son anglaise anonyme.

La soumission des imbéciles est telle qu’on n’a plus besoin de les arrêter. Ils vont d’eux-mêmes à la prison. Un email, pardon, un message suffit :
« Cependant, telle est la soumission du peuple à un gouvernement qu’il abhorre, qu’on juge à peine nécessaire maintenant d’arrêter quelqu’un dans les formes. Souvent ceux dont on veut s’assurer ne reçoivent rien de plus qu’un mandat écrit, leur enjoignant de se rendre à telle prison et ils sont plus ponctuels à ce désagréable rendez-vous qu’à la visite la plus cérémonieuse ou à la plus galante assignation.

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