Le dernier homme et la critique nietzschéenne de l’Etat moderne – Nicolas Bonnal

Nietzsche prévoit non pas le grand remplacement mais le grand rétrécissement mental, spirituel et cérébral : « La terre sera alors devenue plus petite, et sur elle sautillera le dernier homme, qui rapetisse tout. Sa race est indestructible comme celle du puceron ; le dernier homme vit le plus longtemps. « Nous avons inventé le bonheur, » – disent les derniers hommes, et ils clignent de l’œil. Ils ont abandonné les contrées où il était dur de vivre : car on a besoin de chaleur. On aime encore son voisin et l’on se frotte à lui : car on a besoin de chaleur. »

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De la soumission des européens à Biden et aux présidents démocrates – Nicolas Bonnal

Trotsky affirme que le meilleur allié des Etasuniens dans cette infecte inféodation des Européens n’est jamais la droite, quelque couards et stupides que puissent être ses politiciens! Non, le meilleur allié du ploutocrate américain, c’est la gauche, c’est la social-démocratie. Et c’est le Révolutionnaire du siècle passé qui l’écrit :
Pendant ce temps, l’Amérique édifie son plan et se prépare à mettre tout le monde à la portion congrue… La social-démocratie est chargée de préparer cette nouvelle situation, c’est-à-dire d’aider politiquement le capital américain à rationner l’Europe.

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Poutine commence à dézinguer son opposition mondialiste – Nicolas Bonnal

Franchement on ne voit pas Biden finir bien ni Macron ni Bruxelles. L’Europe, nous apprend Sannat, va se réunir pour nous couper l’électricité cet hiver. Et ce qui est formidable est que nous ne sommes victimes ni du pic pétrolier ni même de la guerre ; nous sommes victimes de nos sanctions toutes émanées de notre condition de superpuissance humanitaire et donc de notre propre stupidité. Les ploucs Schwab Leyen et Hariri peuvent être des monstres, ils sont surtout des imbéciles.

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Le syndrome Churchill et la catastrophique guerre occidentale – Nicolas Bonnal

« Il s’était montré prêt à tout sacrifier pour parvenir à cette victoire, et les sacrifices consentis par lui laissèrent ses co-vainqueurs britanniques à moitié ruinés, rationnés, emprisonnés financièrement dans le camp de concentration de leur île, assistant à la désintégration de leur Empire, leur propre pays occupé par des soldats américains, et leur économie nationale dépendant de la charité étasunienne. Tout cela pour quoi ? Pour que les Allemands se vissent désarmés de manière permanente? À peine trois ou quatre années passées, nous suppliions les Allemands de se réarmer aussi rapidement que possible. »

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L’Occident en plein délire.

Le gouvernement australien ordonne à la masse covidiste et vaccinée de couper son électricité. C’est l’hiver là-bas, et dans trois mois l’automne ici. Économie de guerre et grand reset en mode turbo. On pourra se chauffer en mettant le feu peut-être ? Pas d’engrais et pas de blé non plus : alimentaire, mon cher Watson. C’est ça aussi le peuple nouveau. Et les bourreaux élus et réélus par le peuple nouveau souverain sont à la fois bêtes et méchants : la tempête parfaite. Essence à trois euros le litre en septembre ; fin de l’énergie en Allemagne (Klaus Muller, chef du réseau électrique). Les nonagénaires génocidaires euphoriques.

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18 juin : Poutine prône une révolution européenne contre l’élite occidentale

L’élite occidentale devient folle : reset, pénurie, tyrannie sanitaire et numérique, sabbat des sorcières. Elle se radicalise comme Hitler en 45, quand il souhaitait l’anéantissement de son peuple. Ses héritiers socialistes, écologistes et mondialistes sont à la hauteur. Seule peut nous sauver une révolution populaire. Sinon ce sera la mort et le camp.
« Un tel détachement de la réalité, des exigences de la société, conduira inévitablement à une montée du populisme et à la croissance de mouvements radicaux, à de graves changements sociaux et économiques, à une dégradation et, dans un avenir proche, à un changement des élites », a déclaré Poutine. »

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De la génération Mitterrand au peuple nouveau de Macron – Nicolas Bonnal

Le peuple nouveau n’a pas fini de nous étonner avec son crétinisme électoral : il est de gauche ou d’extrême-gauche bien tempérée, écolo, russophobe, américanisé jusqu’à l’os, pleurnichard humanitaire. Il est super ce peuple. Et il est prêt à vivre sans rire de l’éolienne et de la bicyclette (pour repousser Poutine et la Chine avec Biden ?) avant de se coller antenne et puce dans son cerveau branché.

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Virgile et le cheval de Troie : ou comment comprendre leurs guerres hybrides – Nicolas Bonnal

Quatre fois le cheval heurta le seuil de la porte, et quatre fois son ventre rendit un bruit d’armes. Cependant nous continuons, sans nous y arrêter, aveuglés par notre folie (instamus tamen inmemores caecique furore), et nous plaçons dans le haut sanctuaire ce monstre de malheur (monstrum infelix). Même alors la catastrophe qui venait s’annonça par la bouche de Cassandre ; mais un dieu avait défendu aux Troyens de jamais croire Cassandre…

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La dictature de Bruxelles et le retour du Herrenvolk (race des seigneurs) – Nicolas Bonnal

La commission de Bruxelles veut donc priver le bas peuple (99 ou 99.9% de la population) de tout véhicule à moteur thermique. Même Gérard Carreyrou a râlé. Pas folle, l’élite sait que bien que le moteur ou le véhicule électrique sont des leurres (cf. les bus en panne de Wiesbaden) ; seuls donc les yachts, les jets et les bagnoles de luxe (vendues dit-on à moins de mille exemplaires) auront le droit de faire le plein de carburant polluant. Le reste pourra crever ou aller tranquille à bicyclette en s’éclairant à l’éolienne. Etre milliardaire ne leur suffit pas : il faut que la masse n’ait rien ou qu’elle ne soit plus.

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La commission européenne et la « démocratie totalitaire » (Jouvenel) – Nicolas Bonnal

« La « démocratie totalitaire » est un type de démocratie par laquelle un pouvoir instaure une société totalitaire. Le terme de « démocratie totalitaire » est utilisé pour la première fois par Bertrand de Jouvenel, c’est le titre du chapitre XIV de son livre Du Pouvoir (1945). Il rappelle que « le Pouvoir est commandement, et tous ne peuvent commander. La souveraineté du peuple n’est donc qu’une fiction et c’est une fiction qui ne peut être à la longue que destructrice des libertés individuelles. » Le peuple est souverain et se croit au pouvoir ; le piège des mots s’est depuis refermé. On bute alors sur Huxley : « La dictature parfaite aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où grâce à la consommation et au divertissement les esclaves auraient l’amour de leur servitude. »

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