Région de Kherson : ce nouveau crime de guerre commis par l’armée ukrainienne, dont vous n’entendrez pas parler

Suite à un bombardement de l’armée ukrainienne, utilisant les armes américaines HIMARS, la région de Kherson, sous contrôle russe, a été fortement touchée cette nuit : au moins 7 morts et 40 blessés et des sites civils touchés, dont l’hôpital. Mais rien dans les médias. Pour les médias main stream, il ne s’est rien passé à Novaya Kakhovka. Juste un nouveau crime de guerre commis contre la population civile par l’armée ukrainienne, mais comme il n’est pas possible de l’attribuer à la Russie, on n’en parle pas.

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Le discours révélateur de Mike Pompeo sur la nature de l’empire américain – Caitlin Johnstone

« Nous devons empêcher la formation d’un colosse paneurasien incorporant la Russie, mais dirigé par la Chine », ajoute-t-il ensuite. « Pour cela, nous devons renforcer l’OTAN, et nous voyons que rien ne s’oppose à l’entrée de la Finlande et de la Suède dans cette organisation. »

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L’Ukraine, le dernier projet catastrophe des néoconservateurs américains

Le bilan des néoconservateurs est, selon Sachs, « un désastre complet, et pourtant le président Biden a encore renforcé son équipe par des néoconservateurs ». En conséquence, Biden dirige l’Ukraine, les États-Unis et l’Union européenne vers un nouveau désastre géopolitique. « Si l’Europe avait un peu de bon sens, elle se détacherait de ces désastres de la politique étrangère américaine », affirme Sachs.

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Maria Zakharova : «Nous voulons une Ukraine neutre, non alignée et non nucléaire»

Après presque quatre mois de combats en Ukraine, la parole n’a été que rarement, ou très partiellement, donnée à la partie russe, présentée dans les médias occidentaux comme l’agresseur et l’unique responsable du conflit. Alors que les opérations militaires se poursuivent sur le terrain et que les négociations apparaissent à nouveau comme un moyen possible d’arrêter la guerre, il semble important de comprendre pourquoi la Russie a pris le risque de lancer son « opération militaire spéciale », quels sont ses véritables objectifs, à quelles conditions les hostilités pourraient être arrêtées et comment ce conflit remodèle l’ordre mondial d’un point de vue russe. Comprendre n’est pas justifier mais c’est une condition préalable pour reconstruire la paix et la confiance.

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La Russie menace les centres de décision occidentaux

Alors que les chefs d’Etat et de gouvernement de l’Otan se réunissent à Madrid et envisagent une Troisième Guerre mondiale contre la Fédération de Russie, la société publique russe de l’espace, Roscosmos, a publié sur sa chaîne Telegram les coordonnées des centres de décision de l’Occident.

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L’ère post-conflit en Ukraine  : comment éviter une Nouvelle Guerre Froide entre les Européens de l’Ouest et la Russie  ?

Le conflit en Ukraine confirme que la nouvelle configuration géopolitique à l’échelle mondiale est caractérisée par une lutte de répartition des espaces géopolitiques entre grandes puissances. A l‘échelle mondiale, ce conflit s’inscrit dans la clarification, au moyen du rapport de force militaire classique, de l’équilibre géopolitique mondial et donc de sa nouvelle configuration au  XXIème siècle dominée par trois pôles principaux, la triade formée par Etats-Unis, la Chine et la Russie. et en Europe la rivalité géopolitique entre les Etats-Unis et la Russie.

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Premiers enseignements géopolitiques de la guerre en Ukraine

Une fois encore ce n’est pas malheureusement la voix de la France qui, dans les cinq prochaines années, décidera de l’avenir de l’Europe et de ses rapports avec la Russie, mais celle de l’Allemagne, où le pouvoir politique est plus à l’écoute des intérêts économiques de ses entreprises et de ses citoyens.

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Le point sur la situation militaire en Ukraine début juin 2022 – Jacques Baud

Les initiatives de Zelensky pour ouvrir un dialogue avec la Russie ont été systématiquement sabotées par l’Union européenne, le Royaume-Uni et les États-Unis. Le 25 février 2022, Zelensky laisse entendre qu’il est prêt à négocier avec la Russie. Deux jours plus tard, l’Union européenne arrive avec un paquet d’armes de €450 millions pour inciter l’Ukraine à se battre. En mars, même scénario : le 21, Zelensky fait une offre qui va dans le sens de la Russie, deux jours plus tard, l’UE revient avec un deuxième paquet de €500 millions pour des armes. Le Royaume-Uni et les États-Unis font alors pression sur Zelensky pour qu’il retire son offre, bloquant ainsi les négociations d’Istanbul. Il est très vraisemblable que si l’on avait laissé Zelensky négocier comme il l’entendait avec la Russie dès le début de l’offensive, l’Ukraine aurait pu maintenir la plus grande partie du sud sous sa souveraineté. Aujourd’hui, la combinaison de l’acharnement occidental à prolonger le conflit et du refus ukrainien d’engager un processus de négociation place la Russie en position de force. L’incapacité des Occidentaux à juger leur adversaire de manière rationnelle semble conduire l’Ukraine à la catastrophe. 

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Le petit-fils du général de Gaulle dénonce le rôle funeste de l’Otan au service des Américains

« Chacun reconnaît aujourd’hui la responsabilité des Etats-Unis dans le conflit actuel, le rôle funeste de l’Otan qui s’élargit sans cesse et la politique inconsidérée du gouvernement ukrainien. Ce dernier, fort de belles promesses et nourri d’illusions américaines et européennes, a conduit une politique très condamnable à l’égard des populations russophones du Donbass, multipliant discriminations, spoliations, embargos et bombardements. »

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Le Colonel et sénateur américain Richard Black : « En Syrie nous avons toujours travaillé avec les terroristes. »

le président Poutine a fait un effort désespéré pour arrêter la marche vers la guerre en décembre 2021. Il est allé jusqu’à mettre des propositions écrites spécifiques sur la table avec l’OTAN, des propositions de paix pour désamorcer ce qui se passait. Parce qu’à ce stade, l’Ukraine massait des troupes pour attaquer le Donbass. Et donc, il essayait d’éviter cela. Il ne voulait pas la guerre. Et l’OTAN a simplement rejeté ces propositions ; ne les ont jamais prises au sérieux, n’ont jamais entamé de négociations sérieuses.À ce moment-là, Poutine voyant que des Ukrainiens armés, avec des armes pour tuer les troupes russes étaient littéralement à leurs frontières, a décidé qu’il devait frapper en premier.

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