Stefan Zweig et la résistance à la matrice américaine – Nicolas Bonnal

La plus haute réalisation de l’homme spirituel reste la liberté, la liberté par rapport à autrui, aux opinions, aux choses, la liberté pour soi-même. Et c’est notre tâche: devenir toujours plus libre, à mesure que les autres s’assujettissent volontairement!

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Stefan Zweig et l’autodissolution du monde moderne dans l’américanisation – Nicolas Bonnal

On dit Hollywood en liquidation à cause du LGBTQ, on dit l’Empire US en voie de disparition, on dit
Trump en voie de réélection, on dit le dollar en voie de disparition, on dit tant de choses…
La réalité c’est que le triomphe US sur les esprits (la démocratie s’attaque aux esprits, pas aux corps,
combien de fois me faudra-t-il te répéter, Tocqueville ?) est total et universel. 1.5 milliard de dollars
pour le lamentable navet LGBTQ Barbie, un milliard ou plus pour le triquard Top Gun. La surpuissance
de la machine américaine sur le monde est totale – et immatérielle.

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A la lumière du Covid : Stephan Zweig et la progression de la tyrannie nazie

ils utilisaient leurs méthodes avec prudence ; à chaque fois la même chose : une dose, puis une courte pause. Une pilule puis un moment d’attente pour voir si elle n’avait pas été trop forte ou si la conscience du monde en supportait la dose. Et puisque la conscience européenne – honte à son ignominie – a insisté avec ferveur sur son désintérêt, car ces actes de la violence se sont produits « de l’autre côté des frontières », et les doses ont été de plus en plus fortes, à tel point que finalement toute l’Europe a été victime de tels actes.

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Guillaume Faye et le grand condominium planétaire – Nicolas Bonnal

« Il leur manque ce que Ludwig Klages appelait une âme. Dans le célèbre débat qui l’avait opposé à
Jürgen Habermas et aux philosophes de l’école de Francfort, le sociologue allemand Arnold Gehlen
avait déjà attiré l’attention de ses lecteurs sur cette transformation de la civilisation en système :
alors que la société libérale se persuade qu’elle a Construit un monde de prospérité, de libération et

de progrès, la réalité sociale laisse apparaitre un environnement inorganique, c’est-à-dire mort, sans
vie intérieure, plus proche de la machinerie que de l’organisme en croissance. »
Baudrillard a parlé d’hystérésie pour définir notre société. On est déjà morts mais on ne le sait pas
trop, les machines à distraire et à détruire nous masquant notre état.

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Bernanos et la « masse disponible » des temps totalitaires – Nicolas Bonnal

Le problème, le vrai problème c’est la dévaluation du matériel humain ; et là Bernanos surprend avec des arguments… en or massif (Zweig en parle aussi au début de ses mémoires) :
« Les événements n’ont pas plus de volume qu’avant, ce sont les hommes qui sont dévalués. La dévaluation de l’homme est un phénomène comparable à celui de la monnaie. N’attendez pourtant pas que les dévalués conviennent de leur dévaluation! Si le billet de mille francs pouvait parler, il dirait que le bifteck est devenu aussi précieux que l’or, il n’oserait jamais avouer que C’est lui qui ne vaut plus que cent sous. Ainsi les hommes dévalués préfèrent se venger sur l’histoire de leur dévaluation. Ils sont de plus en plus enclins à nier l’histoire, à ne voir en elle que l’ensemble des fatalités historiques… »

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Watzlawick et le rejet du père dans le monde américain-occidental – Nicolas Bonnal

plus l’Amérique sombre et devient folle (militairement, démographiquement, politiquement, culturellement et économiquement), plus elle fascine et domine les esprits européens réduits à l’état de zombis et de miséreux bellicistes. Il reste aux politiciens européens à liquider la population locale sur ordre des labos, des GAFAM et des fonds de pension US

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Louis-Ferdinand Céline et la robotisation du monde et des gens – Nicolas Bonnal

Comme Bernanos combat les robots. Le mot « robot » revient trente-sept fois dans
Bagatelles pour un massacre, ce qui est énorme. Car comme je l’ai montré ce que combat Céline… Les robots ne se révoltent pas. Asimov avait raison : donc on a transformé les gens en robots, ce qui
était facile, reconnaissons-le.
dans les Pamphlets c’est le monde moderne

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La guerre de Crimée (1853-1856) et la russophobie à travers les âges – Nicolas Bonnal

Ici ce qui m’intéresse c’est de rappeler que tous les gouvernements de ce continent zombi approuvent systématiquement ce que font les américains. Les américains ont droit de vie et de mort sur toute cette planète et tout le monde est content en Europe. Vers 1850 c’est l’Europe occidentale – le couple franco-britannique – qui a ce droit (et refusera de le partager avec l’Allemagne) et qui, avant les USA, s’estime le messie des nations sur cette pauvre terre – pour la piller ou la détruire ou la moderniser…

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Romain Rolland : Un écrivain dont la pertinence est plus grande que jamais

Romain Rolland en 1933 :

« De même que dans les guerres de l’avenir, tous écoperont, et les civils, et les femmes, et les vieillards, les impotents et les enfants – de même dans la prison modèle du capitalisme international, chacun aura son numéro, on ne tolérera plus un seul indépendant… Oh ! sans violence ! Le mécanisme sera si parfait qu’il n’y aura de choix que de s’y soumettre ou de mourir de faim. Libertés de presse et d’opinion seront des chimères de l’ancien temps. Et plus un pays où échapper à l’oppression des autres. Les mailles du filet se resserrent peu à peu autour de la terre.i »

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