Les quatre guerres
“Il n’y a jamais eu de guerre prolongée dont un pays ait tiré profit.” – Sun Tzu
Lire la suite“Il n’y a jamais eu de guerre prolongée dont un pays ait tiré profit.” – Sun Tzu
Lire la suiteLa politique étrangère des États-Unis a mis le pays sur la voie d’un monde fait de rivalités, de luttes et de conflits pour le proche avenir. Washington a déclaré la «guerre» à la Chine, à la Russie et à tous ceux qui s’associent à ces deux pays. Cette «guerre» est globale – diplomatique, financière, commerciale, technologique, culturelle, idéologique. Elle fusionne implicitement une rivalité présumée entre grandes puissances pour la domination dont s’ensuivrait un choc des civilisations : l’Occident dirigé par les États-Unis contre les États civilisations que sont la Chine, la Russie et, potentiellement, l’Inde.
Lire la suitel’extraterritorialité du dollar permettant de favoriser en tous lieux les entreprises américaines et d’affaiblir leurs concurrentes – soit en les frappant d’amendes, soit en s’en emparant, soit les deux (comme ce fut le cas d’Alstom) avec la complicité de dirigeants abouliques… ou intéressés à ces opérations. Voici pourquoi le dernier livre de l’historienne Annie Lacroix-Riz, Les origines du Plan Marshall, est essentiel à tous ceux qui veulent remonter aux sources de cette servitude volontaire.
Lire la suiteOn dit Hollywood en liquidation à cause du LGBTQ, on dit l’Empire US en voie de disparition, on dit
Trump en voie de réélection, on dit le dollar en voie de disparition, on dit tant de choses…
La réalité c’est que le triomphe US sur les esprits (la démocratie s’attaque aux esprits, pas aux corps,
combien de fois me faudra-t-il te répéter, Tocqueville ?) est total et universel. 1.5 milliard de dollars
pour le lamentable navet LGBTQ Barbie, un milliard ou plus pour le triquard Top Gun. La surpuissance
de la machine américaine sur le monde est totale – et immatérielle.
après avoir audacieusement revendiqué le rôle de leader du Sud mondial en septembre dernier, l’Inde s’est ralliée en l’espace de deux mois au camp américain en tant qu’allié indispensable des États-Unis, aspirant même à devenir un “centre de défense mondial” avec l’aide du Pentagone. Le cœur du problème est que l’Inde n’est pas enchantée par la multipolarité croissante de l’ordre mondial. L’Inde est un bénéficiaire de l’”ordre fondé sur des règles” et se sent bien plus à l’aise dans un ordre mondial bipolaire où la multipolarité, si elle existe, reste un phénomène marginal tandis que la prééminence des États-Unis continuera à prévaloir pendant les décennies à venir.
Lire la suiteIntervenant le 8 novembre en ouverture de la réunion des hauts responsables de la Communauté des États Indépendants, le président russe a rappelé l’enjeu géostratégique majeur représenté par l’Eurasie, dans un contexte de rivalité croissante avec Washington.
Lire la suitesans une solution juste pour la Palestine, une paix tangible dans le spectre de la multipolarité émergente reste inaccessible. L’horreur actuelle à Gaza montre que la paix n’est toujours pas une priorité pour l’Empire du Chaos, et il faudra une Russie – et peut-être une Chine – pour changer la donne.
Lire la suiteLe présent document est une tentative d’interprétation d’évènements concernant la Russie, au regard des informations disponibles. Il ne se veut ni une prophétie, ni une exégèse péremptoire de vérités autoproclamées. Toutefois, comme le résume l’excellent site zebrastationpolaire.over-blog.com, il peut être intéressant de s’ouvrir à des analyses « présentant un point de vue alternatif, en opposition avec les prétendues ” analyses ” syndiquées des ” medias libres ” des ” democrassies occidentales ” ».
Lire la suiteface à la menace déclarée et partiellement mise en œuvre par l’Occident collectif américano-centré vis-à-vis de la Russie, cette dernière a procédé à la suppression légale des restrictions au développement de son armement stratégique – aujourd’hui, c’est un nouveau pas significatif qui a été entrepris par Moscou dans le cadre du renforcement de sa sécurité nationale.
Lire la suiteAujourd’hui, les pouvoirs en place (TPTB) ont besoin d’un effondrement financier pour masquer les crimes financiers qu’ils commettent depuis des décennies en imprimant de la monnaie, en pillant les comptes bancaires (et les pensions) des Américains et en manipulant les marchés financiers pour s’enrichir pendant que les masses laborieuses restent asservies dans un cycle de pauvreté. Sans toutes ces opérations de contrefaçon de la monnaie, la plupart des Américains s’en sortiraient plutôt bien et pourraient récolter les fruits de leur propre travail, sans le fardeau de l’inflation autour de leur cou. Mais si un effondrement financier peut être imputé à la Russie (ou à la Chine, ou à l’Iran), alors les criminels qui ont mené ce vol de masse peuvent pointer du doigt un bouc émissaire et s’en tirer à bon compte.
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