John Coleman : les 300 et leur extermination des mangeurs inutiles – Nicolas Bonnal

John Coleman évoque le dépeuplement des peuples blancs occidentaux, la famine, la pénurie, la fin de l’eau, l’invasion migratoire, la disparition de l’électricité, les guerres d’attrition en Europe, la confiscation du logement, l’interdiction de déplacement ; mais aussi le contrôle de l’argent par la technologie et la liquidation en conséquent. Instrument génocidaire de la volonté satanique des oligarques européens et américains, l’UE va tout mettre en œuvre pour arriver à ses fins.

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De la Déclaration d’Indépendance américaine au totalitarisme US – Nicolas Bonnal

Jefferson comme saint Thomas d’Aquin légitime la révolte contre la tyrannie : « Mais lorsqu’une longue suite d’abus et d’usurpations, tendant invariablement au même but, marque le dessein de les soumettre au despotisme absolu, il est de leur droit, il est de leur devoir de rejeter un tel gouvernement et de pourvoir, par de nouvelles sauvegardes, à leur sécurité future. »

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Bertrand de Jouvenel et le droit bestial aux siècles de la démocratie totalitaire – Nicolas Bonnal

J’ai déjà cité Jouvenel et traité sa notion de la démocratie totalitaire. Mais en relisant son livre
inépuisable Du Pouvoir j’y trouve, vers la page 510, cette notion étonnante de droit bestial. On a vu
que le droit permet tout et justifie tout en démocratie totalitaire, comme les élections. Vous aurez la
guerre et la tyrannie, avec la bénédiction du clergé et du prolétariat électoral. Le virus puis le vaccin
puis la guerre – tout sera bon en démocratie pour justifier n’importe quelle horreur.

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Décadence morale et dépérissement démographique des peuples : retour sur les analyses d’Ibn Khaldun – Nicolas Bonnal

Un certain nombre de peuples occidentaux ou occidentalisés et pas forcément chrétiens sont en train de disparaître : effondrement moral, démographique, culturel, etc. ; la civilisation occidentale extermine. Voyons à nouveau Ibn Khaldun alors :

« Un peuple vaincu et soumis dépérit rapidement.

Lorsqu’un peuple s’est laissé dépouiller de son indépendance, il passe dans un état d’abattement qui le rend le serviteur du vainqueur, l’instrument de ses volontés, l’esclave qu’il doit nourrir. Alors il perd graduellement l’espoir d’une meilleure fortune. Or la propagation de l’espèce et l’accroissement de la population dépendent de la force et de l’activité que l’espérance communique à toutes les facultés (p.308) du corps. Quand les âmes s’engourdissent dans l’asservissement, et perdent l’espérance et jusqu’aux motifs d’espérer, l’esprit national s’éteint sous la domination de l’étranger, la civilisation recule, l’activité qui porte aux travaux lucratifs cesse tout à fait, le peuple, brisé par l’oppression, n’a plus la force de se défendre et devient l’esclave de chaque conquérant, la proie de chaque ambitieux. Voilà le sort qu’il doit subir, soit qu’il ait fondé un empire et atteint ainsi au terme de son progrès, soit qu’il n’ait rien accompli encore. L’état de servitude amène, si je ne me trompe, un autre résultat : l’homme est maître de sa personne, grâce au pouvoir que Dieu lui a délégué ; s’il se laisse enlever son autorité et détourner du but élevé qui lui est posé, il s’abandonne tellement à l’insouciance et à la paresse, qu’il ne recherche pas même les moyens de satisfaire aux exigences de la faim et de la soif. C’est là un fait dont les exemples ne manquent dans aucune classe de l’espèce humaine. Un changement semblable a lieu, dit-on, chez les animaux 1 carnassiers : ils ne s’accouplent point dans la captivité. Le peuple asservi continue ainsi à perdre son énergie et à dépérir jusqu’à ce qu’il disparaisse du monde. Au reste l’existence éternelle n’appartient qu’à Dieu seul. »

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Guerre antirusse et symbolique de la désindustrialisation occidentale – Nicolas Bonnal

es USA produisent moins de 10% de l’acier chinois, et qu’ils en produisent trois fois moins qu’au début des années 70. La France et l’Europe sont désindustrialisées – le seul pays qui résistait était l’Allemagne, liquidée par son larbin social-démocrate au pouvoir, qui en même temps qu’il anéantit goulument l’industrie veut envahir la Russie pour se faire bien voir de ses maîtres de Washington et par ses voisins polonais (qui lui réclament 1300 milliards)…

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Soljenitsyne et le gazoduc (discours de Harvard) – Nicolas Bonnal

« Si le monde ne touche à sa fin, il en a atteint une étape décisive dans son histoire, semblable en importance au tournant qui a conduit du Moyen-Âge à la Renaissance. Cela va requérir de nous un embrasement spirituel. Il nous faudra nous hisser à une nouvelle hauteur de vue, à une nouvelle conception de la vie, où notre nature physique ne sera pas maudite, comme elle a pu l’être au Moyen-Âge, mais, ce qui est bien plus important, où notre être spirituel ne sera pas non plus piétiné, comme il le fut à l’ère moderne. » Soljenitsyne

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La dictature de la gauche milliardaire au pied du mur – Nicolas Bonnal

La création de la gauche caviar des milliardaires-humanitaires qui poussent à la guerre jadis contre l’Allemagne ou le Japon, aujourd’hui contre la Chine ou la Russie est une vieille histoire occidentale. On y retrouve l’éternel protestantisme nourri au reset, le libéralisme juif, le progressisme des Lumières, le catholicisme de gauche remixé Vatican II, le libéralisme libertaire et le capitalisme artiste décrit jadis par Luc Boltanski. Tout cela a créé l’armature idéologique bobo qui nous mène on le sait au fascisme écolo, à la folie homo-féministe et à la catastrophe économique et même militaire.

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Qui va gagner cette guerre ? – Nicolas Bonnal

Cette guerre aide à ruiner les peuples occidentaux et à enrichir les riches : les agendas ainsi sont remplis, les carnets de commande sont pleins, les actionnaires contents – les nonagénaires génocidaires euphoriques comme jamais. La brutale et interminable opération spéciale a renforcé facilement le pouvoir des oligarques qui a coup d’invocation humanitaire mènent toujours les masses hébétées ou enthousiastes à l’abattoir – ici sociale et carbonique – comme ils veulent.

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